L'ATOME

L'atome d'oxygène.

Les deux électrons internes sont liés par des forces magnétiques.

Les 6 électrons périphériques sont disposés aux sommets d'un cube, à l'intérieur des cônes d'ombre.

Les électrons marqués d'un centre clair ont le même spin.

Les autres sont du spin opposé, y compris les deux électrons absents qui permettent les liaisons chimiques.

Les ondes stationnaires de tous ces électrons se chevauchent, d'où un « nuage d'électrons ».

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En supposant qu'ils soient immobiles, ce qui reste à démontrer, les 8 électrons de l'atome d'oxygène devraient être disposés comme on le montre ci-dessus. Les deux électrons internes sont rattachés au noyau par des forces magnétiques. Les six autres sont situés sur une couche sphérique qu'on peut tout aussi bien considérer cubique. Le noyau est en effet entouré de huit cônes d'ombre disposés selon les huit sommets d'un cube. Chacun de ces cônes agit comme un entonnoir capable de capturer plusieurs électrons à la file indienne.

Dans l'atome de chlore montré ci-dessous, à gauche, il y aurait normalement un électron d'absent, le suivant étant légèrement décalé vers l'extérieur pour compenser les forces. Ce qu'on appelait « l'électronégativité » des métalloïdes est plus exactement le résultat de l'effet d'attraction du cône d'ombre, qui s'ajoute à la force de Coulomb exercée par les protons. Cette absence d'un seul électron explique donc la propension du chlore à capturer l'unique électron périphérique du sodium. Cet électron est rattaché peu solidement à son atome parce qu'il doit partager le même cône d'ombre avec autre électron, ce dernier exerçant une force de répulsion.

Alors la couche externe des deux atomes est complète, ce qui fait que c'est uniquement la force de Coulomb qui les réunit, d'où une « liaison ionique ». Ces atomes ressemblent ainsi à des atomes de néon et d'argon, mais ils ont une charge positive et négative. Ils ont bel et bien une structure cubique, plus exactement cuboïde, et ils ont finalement à peu près les mêmes dimensions parce qu'il y a moins de protons attracteurs dans l'atome de sodium. Il est donc normal qu'ils s'assemblent en cristaux cubiques en alternant.

  

La liaison ionique : le chlore (à gauche) emprunte un électron au sodium.

C'est la force de Coulomb qui agit. Les cônes d'ombre ne sont pas impliqués en première analyse.

 

Cette description de l'atome pourra sembler suspecte. Pourtant le célèbre chimiste américain Gilbert Newton Lewis avait compris dès 1902 qu'elle était fonctionnelle. C'est tellement vrai que même aujourd'hui, beaucoup de chimistes continuent d'utiliser la méthode dite des cubes, qu'il avait mise au point. Désormais, on pourra la parfaire puisqu'on en connaît les mécanismes. On peut en effet identifier et expliquer plusieurs autres forces, par exemple celles de Van der Waals.

Si elle devait s'avérer exacte, cette théorie devrait révolutionner et simplifier la chimie.

On s'en doutait bien, l'atome est un tout complexe. Contrairement à ce qu'on a toujours pensé, l'atome n'est pas fait principalement de vide. On parlait de « structure lacunaire », mais en fait tous les électrons qui composent un atome entremêlent leurs ondes stationnaires, dans un espace bien plus grand que le rayon de valence normal, ce qui fait qu'un atome, et en particulier le noyau, est une véritable « boule d'énergie ».

On aura vu dans les pages précédentes comment trois paires d'électrons déguisés en quarks et dissimulés à l'intérieur d'un champ gluonique intense arrivaient à former des protons et des neutrons. Puis ces derniers s'assemblent en un noyau compact, qui s'entoure finalement d'autant d'électrons qu'il y a de protons. 

Le mot « atome » est donc très mal choisi, car il vient du grec et il signifie « indissociable ».

Le véritable atome, c'est plutôt l'électron.

Les cônes d'ombre.

On aura vu à la page précédente que le proton rayonne constamment de l'énergie, mais qu'il le fait selon 15 axes reliés aux champs gluoniques primaires et secondaires. On peut constater qu'entre ces axes, il existe huit cônes d'ombre, où le rayonnement et donc la pression de radiation est beaucoup plus faible. Là, c'est l'effet d'ombre, une force attractive très puissante, qui domine. Ces cônes forment de véritables « entonnoirs » qui aboutissent de l'autre côté du noyau au cône opposé, d'où une sorte de « tunnel noir » biconique.

On sait que l'atome d'hydrogène ne comporte qu'un seul proton, mais que les atomes les plus lourds peuvent comporter plus de 100 protons et électrons, et encore davantage de neutrons. Tout indique que ces protons ou neutrons s'assemblent d'une manière rigoureusement géométrique. Ceci permettrait aux cônes d'ombre montrés ci-dessous de se superposer de manière à ce que leur orientation et donc leur nombre demeure constant.

Quel que soit l'atome, il comporte toujours 8 « entonnoirs », mais chacun d'eux est d'autant plus puissant que le nombre de protons dans le noyau est plus élevé.

Les 8 cônes d'ombre en forme d'entonnoirs ou de « tunnels noirs » sont disposés de cette manière.

Ces cônes capturent des électrons. Ils justifient la structure de l'atome et ses liaisons chimiques.

 

M. Milo Wolff avait proposé l'expression  « structure ondulatoire », en anglais : Wave Structure of Matter. C'est particulièrement vrai en ce qui concerne les quarks, mais je préfère dire que la matière possède plus exactement une nature ondulatoire. Non seulement c'est le rayonnement d'un ensemble d'électrons sous forme de quarks et de champs gluoniques qui établit de quelle manière devra s'édifier cette structure, mais les matériaux eux-mêmes sont constitués d'ondes.

Les hyperboles.

Selon cette étude, les électrons ne tournent pas autour du noyau de l'atome. Certains de ceux qui occupent les couches internes seraient capturés par des zones d'ombre en forme d'hyperboloïdes de révolution, comme on le voit ci-dessous. On peut en effet montrer que le rayonnement combiné de deux électrons très rapprochés, donc d'un quark, produit de telles formes par le jeu des interférences. Il arrive même que quatre électrons produisent deux séries d'hyperboloïdes sur des axes parallèles, et alors ceci produit des zones d'ombre hyperboliques (des hyperboles véritables) comme le montre l'image au dessous de celle-ci :

 

Les zones d'ombre en forme d'hyperboloïdes de révolution ou d'hyperboles véritables.

Les électrons des couches internes pourraient être capturés en partie dans ces zones.

Ils s'ajoutent aux huit électrons des cônes, et les couches peuvent donc en contenir plus de huit.

 

Il est possible et même probable que les cônes d'ombre capturent d'abord seize électrons répartis sur deux couches, du lithium jusqu'à l'argon inclusivement. Mais s'ils sont plus nombreux, ces électrons pourraient ensuite se placer dans les espaces intermédiaires en privilégiant les hyperboles montrées ci-dessus. La table de Mendeleïev montre en effet un vide très révélateur entre le magnésium et l'aluminium : ce sont des éléments de transition. On sait que si les spins ne sont pas appariés, il se produit des champs magnétiques. De plus les séries des lanthanides et des actinides en constituent un indice additionnel.

La règle de l'alternance du spin.

Pour éviter qu'un tel champ magnétique ne se produise, les autres électrons occupant les sommets opposés du cube devraient être de spin différent sur la même couche. Le spin devrait aussi alterner à l'intérieur du même cône. C'est la règle de l'alternance du spin, l'explication de l'une des conditions du principe d'exclusion de Pauli. Ceci donne fortement à penser que les liaisons chimiques devraient aussi respecter cette alternance du spin d'un atome à l'autre. Mon explication de la lumière exigeait d'ailleurs que le spin des électrons alterne tout le long d'un axe qui traverse toute matière, peu importe son orientation.

On peut aussi penser que les deux électrons les plus près du noyau sont liés par une force différente de celle des cônes d'ombre. Cette force serait de nature strictement magnétique, puisque l'unique quark down du proton, s'il est fait de deux électrons de même spin, produirait un rayonnement unidirectionnel en tandem avec l'unique positron de ce proton. À moins d'une exception à la règle de l'alternance, le spin de ces deux électrons ne devrait pas être le même non plus.

On note qu'il est impossible de regrouper les six électrons du proton d'une manière symétrique, comme on peut le faire sans peine avec les huit électrons de la couche de valence. Il peut exister deux configurations qui pourraient expliquer pourquoi on a vu ou cru voir deux quarks up et un seul quark down dans le proton et l'inverse dans le neutron. Il est probable que la différence s'explique par une différence de spin, et dans ce cas il faudrait donc que le spin des deux électrons de la couche interne soit le même pour compenser le champ magnétique.

La chimie.

Ce sont bien sûr les électrons de la couche périphérique qui jouent un rôle important dans les liaisons chimiques car ils sont plus facilement en mesure d'atteindre les cônes d'ombre des atomes voisins. Mais il se peut qu'il y ait des exceptions. À la réflexion, c'est même probable.

Voyons donc le mécanisme de ces cônes d'ombre, ce qui nous plongera en pleine chimie.

 

 

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Gabriel LaFrenière,

Bois-des-Filion en Québec.

Dernière mise à jour le 6 juillet 2005.

Sur l'Internet depuis septembre 2002.

Courrier électronique : veuillez consulter cet avis.

La théorie de l'Absolu, © Luc Lafrenière, mai 2000.

La matière est faite d'ondes, © Gabriel Lafrenière, juin 2002.

 

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