LES FORCES NUCLÉAIRES

Les ondes stationnaires présentes au-delà des deux électrons du quark sont concentriques.

Elle produisent au centre du système l'équivalent d'un disque d'Airy fait d'ondes stationnaires.

Il s'agit d'un champ très condensé et très puissant, en forme d'ellipsoïde, qui explique les forces nucléaires.

 

          Page d'accueil :  La matière est faite d'ondes.

 

L'ÉNERGIE CINÉTIQUE

Qui dit force dit énergie.

Cette étude proclame que toutes les forces sont le fait des ondes de l'éther. Elles agissent à la vitesse de la lumière par la pression de radiation. C'est donc aussi le cas des forces nucléaires.

Pour autant que je sache, c'est Henri Poincaré qui a noté le premier que la pression de radiation de la lumière, qui venait tout juste d'être démontrée, pouvait être assimilée à la pression par contact qu'exerce une boule de billard lorsqu'elle en frappe une autre. Il y a donc un lien avec l'énergie cinétique. Même si ce rayonnement ne possède pas de masse véritable, on peut donc lui attribuer une « masse équivalente ». Dès 1900, soit cinq ans avant Einstein, Poincaré en est arrivé à la formule suivante :

m = E / c 2

ce qui, bien évidemment, conduit à :

E = m c 2

Toute énergie provient de l'énergie cinétique.

Pour ma part, j'ai montré à la page sur la masse active et réactive que lorsqu'une boule de billard en frappe une autre identique, l'énergie cinétique mise en œuvre ne sert pas uniquement à accélérer celle-ci. La moitié exactement est utilisée pour immobiliser la première. C'est ce qui explique la division par deux dans l'ancienne équation sur l'énergie cinétique :

E = m v 2 / 2

Or Lorentz a montré que la masse d'un objet devait augmenter avec sa vitesse selon le facteur gamma. Pour des vitesses très proches de celle de la lumière, seule une portion négligeable de l'énergie cinétique doit donc être utilisée pour immobiliser un objet. En conséquence, pour ces vitesses très proches de celle de la lumière, donc pratiquement selon v = c, l'énergie cinétique de cet objet correspond à :

E = (g m m) v 2 = (g – 1) m c 2

Il est bien établi de nos jours que le gain de masse correspond à l'énergie cinétique. Je désire simplement préciser que toute énergie tire sa source de l'énergie cinétique. Elle est présente dans la masse d'un objet qui se déplace et elle peut se transmettre à un autre objet, ce qui modifie la vitesse de celui-ci. Elle est présente aussi dans les ondes qui circulent dans l'éther, mais elle n'agit que si elle est anormale, ce qui ne peut se produire que si d'autre matière s'est déplacée ou a été modifiée quelque part.

Mais l'énergie cinétique possède surtout la propriété de pouvoir être stockée dans les ondes stationnaires du champ électrostatique ou gluonique.

La matière est indestructible.

Qu'elle soit stockée en quantités limitées sous forme de chaleur ou dans la substance d'un litre d'essence, ou qu'elle soit disponible en permanence dans le rayonnement solaire, l'énergie provient toujours de l'énergie cinétique. Elle ne peut donc pas provenir de l'énergie intrinsèque des électrons et des positrons qui composent la matière. 

Contrairement à ce qu'on a prétendu depuis Einstein, la matière est indestructible, du moins en ce qui concerne les électrons et positrons qui la composent essentiellement. Si elle contient de l'énergie utilisable, c'est que cette énergie est stockée dans les ondes stationnaires des champs électrostatiques, mais surtout des champs gluoniques, qui sont beaucoup plus puissants. Or ces champs n'existent que parce que les électrons et les positrons ont la propriété de s'attirer ou de se repousser, et donc d'accélérer et d'acquérir de l'énergie cinétique sous forme de masse additionnelle.

Les forces électrostatiques.

On aura vu à la page précédente que lorsque deux électrons sont précipités l'un vers l'autre à la vitesse de 0,866 c, leur masse est doublée ; mais au moment où ils s'immobilisent, l'équivalent de leur masse est stockée temporairement dans les ondes stationnaires du champ électrostatique :

L'énergie cinétique des deux électrons est stockée dans le champ électrostatique.

 

L'unification des forces.

Cette animation montre d'une manière on ne peut plus claire que le champ électrostatique contient de l'énergie. Comme l'électron, il est amplifié par les ondes de l'éther, et il doit donc rayonner des ondes.

De plus, le champ gluonique présente exactement les mêmes caractéristiques, ce qui permet d'unifier les forces électrostatiques et la force nucléaire dite forte. La différence provient en partie de la distance. Il est bien évident que si la force électrostatique varie en raison inverse du carré de la distance, elle atteint des valeurs énormes si cette distance est très courte.

Il faut souligner que ces forces résultent de l'addition des ondes émises par les électrons. Or, à très faible distance, de l'ordre de quelques longueurs d'onde, les électrons ne contiennent que des ondes stationnaires. Ils n'émettent pas d'ondes tout près d'eux, ce qui fait que le champ gluonique faiblit finalement à très courte distance.

Ce détail est en accord avec les observations : on s'étonne en effet que la force des champs gluoniques croisse au lieu de diminuer lorsqu'on éloigne les quarks l'un de l'autre.

La force nucléaire faible résulte plutôt du rayonnement du champ gluonique. Dans tous les cas, les forces sont attribuables à des ondes, et elles sont attribuables à des champs de force.

La tendance actuelle est d'attribuer une particule à chacune de ces forces : photons, gravitons, gluons, etc.

Soyons clairs : ces particules n'existent pas.

 

 Le champ électrostatique est fait des ondes stationnaires qui se forment sur l'axe qui joint deux particules.

Comme l'électron, ces ondes stationnaires sont amplifiées par les ondes de l'éther, d'où leur énergie.

 

On postule dans ces pages que la matière est faite uniquement d'électrons. Mais en fait leurs ondes se composent et produisent aussi des champs électrostatiques et gluoniques, qui constituent de la matière additionnelle. On verra aussi à la page sur la théorie de l'évolution que la matière s'est construite d'elle-même à partir des électrons et des positrons qui s'étaient formés auparavant. Le processus n'était pas bien compliqué puisque les forces électrostatiques provoquent leur accélération s'ils sont mis en présence. Il en résulte une augmentation de leur masse. Puis au moment où ils entrent en collision, ils s'enclenchent sur un multiple de leur longueur d'onde en formant un quark relié par un champ gluonique.

La plupart des quarks se détruisent et libèrent des électrons et des positrons accélérés en plus d'un rayonnement intense, sachant qu'ils sont hautement instables. Étant accélérées, ces particules sont plus aptes à produire de nouveaux quarks, et il arrive de temps à autre que des quarks s'assemblent à deux puis à trois de manière à former des neutrons et des protons, ce qui conduit à la formation d'hydrogène.

Les forces nucléaires sont attribuables aux champs gluoniques.

Selon le modèle que ces pages proposent, le proton serait fait de six électrons seulement, au centre duquel un positron survivrait à cause de la présence d'ondes stationnaires vibrant à la quadrature. Ces six électrons sont reliés par 15 champs gluoniques. Il en ressort que la masse des champs gluoniques constitue la quasi-totalité de la masse du proton, soit 1836 fois la masse d'un électron.

Et puisque ces champs constituent pour ainsi dire de l'énergie cinétique en conserve, les forces nucléaires sont attribuables exclusivement aux ondes stationnaires des champs gluoniques.

 

LES CHAMPS GLUONIQUES

Qu'il soit question de fusion ou de fission, toute réaction nucléaire ne fait donc que réorganiser la matière différemment, de manière à libérer ou à accumuler de l'énergie sous forme de champs gluoniques plus ou moins puissants ou nombreux. De la même manière, toute réaction chimique ne fait que réorganiser les champs électrostatiques qui se forment entre les électrons au sein d'une molécule.

La formation d'un champ gluonique est relativement complexe. Contrairement aux champs électrostatiques, il ne s'agit pas d'ondes stationnaires simples résultant de l'addition des ondes émises par deux électrons qu'on met en présence.

Il faut en premier lieu remarquer que si un positron peut subsister indéfiniment au centre des trois quarks qui le composent, ce ne peut être que parce que les ondes stationnaires présentes à cet endroit vibrent comme lui à la quadrature. Cette quadrature est également nécessaire pour annuler la charge négative des deux électrons. Or c'est tout à fait possible à la condition que les deux électrons qui forment un quark ne forment pas d'ondes stationnaires entre eux, sur l'axe qui les unit :

 

Les ondes stationnaires se détruisent entre ces deux électrons, mais elles s'additionnent au-delà.

Ce phénomène se reproduit à chaque longueur d'onde cause du noyau central de l'électron, qui fait une onde entière.

 

D'un autre côté, les deux électrons sont faits d'ondes partiellement stationnaires, ce qui signifie qu'en plus des ondes strictement stationnaires qui s'annulent comme le montre ci-dessus, des ondes progressives sont malgré tout présentes sur l'axe qui les unit. Il en résulte donc finalement une certaine proportion d'ondes stationnaires qui ont l'allure d'un champ électrostatique, sous réserve que leur période est constante et qu'elle correspond à celle d'un positron, donc à la quadrature.

Cette quadrature se réalise systématiquement à chaque longueur d'onde, lorsque la période des ondes stationnaires situées au centre correspond à des interférences destructives. Il faut d'abord bien observer le comportement de ces ondes partiellement stationnaires » :

  

L'électron est fait d'ondes « partiellement stationnaires ».

 

Les deux électrons du quark produisent entre eux des ondes stationnaires dont la période est à la quadrature.

De cette manière, le centre du proton peut accepter un positron, dont la période est aussi à la quadrature.

Il faut remarquer aussi que sur l'axe, entre les deux électrons, les ondes circulent en direction du centre.

Ces ondes contraindront le positron à demeurer au centre du proton : il y sera très stable.

 

En réalité, le processus est encore plus complexe. Les ondes stationnaires concentriques qui se forment de part et d'autre des deux électrons sont amplifiées, tout comme les électrons, par les ondes de l'éther. Elles doivent rayonner l'énergie correspondante des deux côtés, et donc pour une moitié vers le centre du système. Tous les opticiens devraient en déduire que cela doit produire un « disque d'Airy stationnaire », comme l'indique ce diagramme :

 

Les ondes stationnaires de part et d'autre de l'axe, plus puissantes, sont pratiquement concentriques.

Leur centre de courbure ne correspond pas à la distance des électrons.

Selon le principe de Huygens, elles rayonnent et concentrent des ondes vers le centre du système.

Ces ondes circulent en sens opposé et elles produisent un disque d'Airy fait d'ondes stationnaires.

Les électrons n'en sont pas affectés parce que les ondes stationnaires n'exercent pas de pression de radiation.

 

Le diagramme ci-dessus montre deux électrons très près l'un de l'autre, ce qui est le cas à l'intérieur d'un quark. Si leurs ondes stationnaires se détruisent entre eux, elles s'additionnent au contraire de part et d'autre, tout particulièrement sur l'axe. Puisque l'énergie des ondes correspond au carré de leur amplitude, on peut en déduire que toute la région voisine de cet axe est le siège de puissantes ondes stationnaires dont l'énergie vaut quatre fois celle d'un seul électron à la même distance.

Les ondes rayonnées par le champ gluonique sont plus puissantes sur l'axe.

Le calcul montre que pour la même raison, tout le reste de l'espace autour de ces électrons subit plutôt un déficit en énergie. Il en ressort très clairement que cette situation conduit à un diagramme de rayonnement qui favorise l'axe au détriment de toutes les autres directions.

Les ondes stationnaires du champ gluonique, qui résultent du rayonnement des ondes stationnaires concentriques extérieures, vibrent au hasard sur une fréquence qui n'est pas celle des électrons ni des positrons. Cette fréquence dépend en effet de la distance exacte entre les deux électrons. Le champ est donc neutre en ce qui concerne sa charge électrostatique, ce qui pourrait expliquer les spins aux tiers et les charges dites de « couleur ».

Il est très possible en effet que les quarks oscillent constamment autour de leur position idéale de manière à produire les effets qu'on a observés. Mais il se peut aussi que ces oscillations ne soient que la conséquence des moyens qu'on met en œuvre pour étudier ces quarks.

On retrouve le même problème qui a conduit au principe d'Incertitude : il est impossible de vérifier une seconde fois la position d'un électron puisque la première vérification au moyen des rayons gamma ou d'un autre électron l'a déplacé. Tout serait plus simple si l'on pouvait voir les quarks, mais nos seuls moyens disponibles pour les observer modifient certainement leur équilibre normal.

Les forces nucléaires déterminent la structure de la matière.

Les ondes stationnaires du champ gluonique sont amplifiées par les ondes de l'éther. Finalement, leur énergie est beaucoup plus grande que celle des deux électrons seuls, ce qui explique très bien que la masse d'un proton vaille 1836 fois celle d'un seul électron.

Mais il y a plus : le champ gluonique rayonne des ondes qui sont plus puissantes le long de l'axe qui joint les deux électrons du quark. Mais le rayonnement est plus faible partout ailleurs. Ce phénomène conduira à la formation des cônes d'ombre, qui expliquent les liaisons chimiques

De plus, à cause de l'effet d'ombre, le champ gluonique produit un effet d'attraction très intense partout sauf le long de l'axe. Il agit comme une « particule collante », comme son nom gluon l'indique (de l'anglais glue : colle).

C'est pour cette raison que la structure en octaèdre du proton et du neutron, que je propose, est particulièrement favorable. Elle produit pas moins de 15 champs gluoniques. Chacun des six électrons composant les trois quarks s'en trouve fortement lié à l'ensemble, et l'ensemble permet de justifier la présence systématique potentielle de 8 électrons à la périphérie des atomes.

 

 

| 01 | 02 | 03 | 04 | 05 | 06 | 07 | 08 | 09 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | Vous êtes ici. | 16 |

| 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | 32 | 33 |

 

Gabriel LaFrenière,

Bois-des-Filion en Québec.

Dernière mise à jour le 7 juillet 2005.

Sur l'Internet depuis septembre 2002.

La théorie de l'Absolu, © Luc Lafrenière, mai 2000.

La matière est faite d'ondes, © Gabriel Lafrenière, juin 2002.

1