L'INVERSION DE PHASE DE L'ÉLECTRON

L'inversion de phase d'une demi-période.

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 1- Le noyau central demi-onde.

L'image suivante figurait sur la couverture de mon livre « La matière est faite d'ondes » : 

 

L'électron mal compris. Son noyau central ne mesurait qu'une demi-onde.

 

Mais aujourd'hui, grâce à M. Milo Wolff, je suis en mesure de faire beaucoup mieux.

Les électrons peuvent se multiplier comme des virus.

Les premiers programmes d'ordinateur que j'écrivais autrefois ne me permettaient pas d'analyser correctement cette onde stationnaire sphérique qu'est l'électron. J'utilisais plutôt le programme Adobe Photoshop. Il s'agit d'un outil merveilleux qui permet aux photographes et aux amateurs d'images de réaliser des chefs-d'œuvre. On peut entre autres superposer un grand nombre de calques dans le but de vérifier ce qui se passerait si un certain nombre d'électrons se trouvaient dans un espace commun. En effet, deux électrons émettent des ondes sphériques dont l'addition devrait produire le diagramme montré ci-dessous. On y distingue des ondes stationnaires planes sur l'axe qui unit les deux électrons :

 

 

Je montre à la page sur la force de Coulomb qu'un tel système en forme de cigare est un champ électrostatique si les électrons sont relativement éloignés. Alors les ondes stationnaires de l'électron sont pratiquement nulles. Le diamètre de ce champ électrostatique est considérable et il peut mesurer des centaines de fois la longueur d'onde. Je me suis donc demandé ce qui devrait se passer si 64 électrons se trouvaient répartis uniformément sur un seul plan et selon différents angles. J'ai obtenu ceci :

 

Les électrons peuvent se reproduire comme des virus.

 

Cette animation indique qu'un certain nombre d'électrons peuvent en certaines circonstances très rares créer de nouveaux électrons. 

Une telle situation n'est évidemment pas susceptible de se produire très souvent, mais elle est possible et elle doit donc survenir à l'occasion. Ma page sur la théorie de l'Évolution indique que les premiers électrons ont aussi pu se former à partir des ondes primitives qui existaient dans l'éther à l'origine. Les chances pour qu'une telle situation se produise étaient toutefois beaucoup plus faibles.

Cette animation ne représente qu'une surface et non pas un espace en trois dimensions. On aura remarqué que le noyau central ne mesure là aussi qu'une demi-longueur d'onde. Toutefois, mes programmes révèlent que si l'on répète le même procédé dans un espace en trois dimensions, on obtient plutôt un noyau central qui fait une onde entière.

Aujourd'hui je puis donc affirmer que toute analogie avec des vagues qui se propagent sur la surface d'un liquide conduit à des conclusions erronées. C'est d'autant plus vrai que la vitesse des vagues n'est pas la même selon leur longueur d'onde : on sait par exemple que les vagues d'un tsunami se déplacent à une vitesse voisine de celle du son. Au contraire, la vitesse du son dans l'air ou dans un solide est constante quelle que soit sa fréquence.

Le noyau onde entière.

Le noyau onde entière conduit à une mécanique ondulatoire bien différente. Par exemple, si deux électrons dont le noyau ne fait qu'une demi-onde sont à proximité, leurs ondes s'ajoutent partout ou se détruisent partout sur l'axe qui les unit. C'est l'un ou l'autre, et tout dépend de la distance qui les sépare :

 

La distance est de 12 longueurs d'onde. Les ondes s'ajoutent partout sur l'axe.

 

La distance est de 10,5 longueurs d'onde. Les ondes se détruisent partout sur l'axe.

 

D'un point de vue mécanique, on peut aussi prévoir qu'un tel électron devrait s'évanouir rapidement. On sait que les ondes stationnaires rayonnent normalement toute leur énergie, quand c'est possible. On peut le démontrer à l'aide du principe de Huygens. Les ondelettes de Huygens qui prennent naissance sur l'une des couches de l'électron iront éventuellement rejoindre l'ondelette correspondante de la même couche sur le côté opposé. Puisque les deux sont en phase, elles ajouteront leur énergie et elles l'évacueront très loin de l'électron :

  

 

2 - Le noyau central onde entière.

 

J'ai trouvé le site Internet de Milo Wolff vers juillet 2003. J'ai immédiatement remarqué que l'électron représenté possédait un noyau central dont le diamètre faisait une onde entière.

C'est pourquoi j'ai entrepris aussitôt de vérifier tout ceci par moi-même. Mes programmes étaient devenus très efficaces et j'ai vite constaté que les diagrammes de Milo étaient tout à fait corrects. Il utilisait des formules bien connues depuis longtemps, mais ma méthode faisait plutôt appel au principe de Huygens.

Ainsi donc, l'électron au repos de Milo Wolff possède un noyau plus grand dont le diamètre fait une onde entière, et alors les ondelettes ne se composent plus de la même manière :

Les ondelettes de Huygens ne sont plus en phase après avoir traversé le noyau.

 

L'électron est stable.

L'image ci-dessus montre que les ondelettes de Huygens ne sont plus en phase avec les ondes opposées après avoir traversé le noyau central. Tout bon opticien devrait en conclure que cet électron serait beaucoup plus stable que l'autre montré plus haut, et dont le noyau ne mesure qu'une demi-onde.

Le calcul de ces ondelettes est relativement complexe. On sait qu'à la suite de Fresnel et de Denis Poisson, de nombreux mathématiciens avaient mis au point des intégrales que sir Airy avait utilisées dans le but de calculer le diamètre de la tache de diffraction connue aujourd'hui sous le nom de disque d'Airy. Je montre ailleurs dans ces pages que l'électron n'est rien d'autre qu'un disque d'Airy à pleine ouverture, soit sur 360°.

Pour autant que je sache, il n'existe pas de calcul intégral bien rôdé permettant de vérifier l'électron. Toutefois, si l'ordinateur ne calcule en entier qu'une seule couche de l'électron, il produit des résultats bien différents si les côtés opposés sont en opposition de phase. Pour une distance très grande, l'énergie de deux ondelettes provenant de deux côtés opposés tend à devenir égale. Si cette distance vaut des millions de longueurs d'ondes, ces deux ondelettes se détruisent presque totalement puisqu'elles sont en opposition de phase et que leur énergie est pratiquement égale.

Par contre, les ondelettes provenant du noyau central échappent à ce processus. Parce qu'il est unique, le centre produit des ondes sphériques qui se propagent à l'infini et dans toutes les directions. On trouvera à la page sur la mécanique ondulatoire une démonstration de l'effet de lentille. Il en résulte un effet d'amplification qui permet à l'électron de récupérer l'énergie qu'il perd et de rayonner continuellement des ondes. On en déduit quatre points importants :

1 - L'électron est un émetteur d'ondes sphériques. Il rayonne continuellement de l'énergie.

2 - Les ondes que l'électron a émises s'étendent à l'infini, mais l'électron lui-même occupe un espace limité. Ses ondes stationnaires n'excèdent probablement pas une sphère d'un mètre de rayon, et l'essentiel de son énergie est peut-être même limité à une sphère de la grandeur d'un atome. On pourra le déterminer un jour en analysant les champs gluoniques et électrostatiques. 

3 - Les ondes stationnaires sphériques de base ne sont pas faites d'ondes convergentes et divergentes. Ce concept s'avère utile et efficace pour analyser les ondes stationnaires, et je ne me prive pas moi-même de l'utiliser à l'occasion parce que les résultats qu'on obtient de cette manière sont le plus souvent corrects. Mais en réalité, ces ondes stationnaires sont tout simplement faites de zones où la substance de l'éther est alternativement comprimée puis dilatée. Ce phénomène obéit à la loi de Hooke.

4 - Les électrons étant faits d'ondes stationnaires sphériques stables, il s'y ajoute des ondes progressives convergentes qui sont peu à peu amplifiées à mesure qu'elles approchent du centre. Lorsqu'elles y sont parvenues, elles se transforment en ondes divergentes et leur amplification se poursuit tant qu'il existe des ondes stationnaires. La seule superposition de ces ondes produit de nouvelles ondes stationnaires, mais l'excédent de l'énergie des ondes divergentes sur les ondes divergentes produit plutôt ce qu'on appelle des « ondes partiellement stationnaires ».

J'ai fait l'animation suivante dans le but de montrer que si l'intensité des ondes n'est pas la même dans les deux sens, des ondes stationnaires pures peuvent se transformer peu à peu en ondes progressives pures, mais avec un stade partiellement stationnaire à mi-chemin :

 

Les ondes stationnaires se transforment peu à peu en ondes progressives.

 

De plus, le fait que le noyau (l'anti-nœud) central mesure une onde entière fait en sorte que les ondes se composent d'une manière différente :

 

Distance : 11 longueurs d'onde.

Les ondes se détruisent entre les électrons, mais elles s'additionnent au-delà.

  

Distance : 10,5 longueurs d'onde.

Les ondes s'additionnent entre les électrons, mais elles se détruisent au-delà.

 

Si les deux électrons sont très rapprochés, ce sont leurs ondes stationnaires qui se composent. Autrement, les ondes progressives qu'ils émettent produisent nécessairement des ondes stationnaires dans l'espace intermédiaire. Alors le résultat est très différent de ce qu'on peut voir sur les diagrammes ci-dessus.

Les « couches d'oignon » de Milo Wolff.

M. Milo Wolff présente la structure d'un électron comme s'il s'agissait d'un oignon. C'est en effet une méthode habile qui permet d'évaluer le volume et donc l'amplitude des ondes de chaque couche successive. À l'aide de mon programme, qui fait appel au principe de Huygens, j'ai pu obtenir le diagramme suivant :

 

 

 L'amplitude des lobes successifs de l'électron.

 

3 - L'inversion de phase selon M. Milo Wolff.

Je tiens à rappeler ici que, pour autant que je sache, c'est M. Milo Wolff qui a présenté pour la première fois, vers 1986, ce prototype comme étant non seulement un électron, mais aussi la structure fondamentale de toute matière. Tout comme moi, il affirme que la matière est faite d'ondes, mais cette dernière affirmation fut faite pour la première fois, du moins à ma connaissance, par M. Serge Cabala vers 1970.

 De plus, M. Wolff parlait aussi d'une « inversion de phase ». Il invoquait cette inversion pour justifier le spin de l'électron, croyant que l'opposition de phase correspondait plutôt à un positron. Je ne suis pas du tout d'accord avec cette interprétation puisque les quatre spins électron-positron peuvent s'expliquer à merveille par une simple différence de phase. Ce sont plutôt les électrons de chaque spin qui sont en opposition de phase, comme cette animation le montre très bien :

 

Les électrons de chaque spin sont en opposition de phase.

Ils sont en avance ou en retard d'un quart de période (p / 2) sur les positrons. 

Le positron présente lui aussi deux spins correspondant également à l'opposition de phase.

 

Les nœuds des ondes stationnaires apparaissent deux fois par période et en deux endroits différents. Le noyau central de l'électron peut alors être fait d'éther comprimé ou d'éther dilaté. Il y a donc place pour deux électrons, l'un à 1/2 et l'autre à +1/2 comparativement à  p.

Puisque les électrons et les positrons ne sont pas en opposition de phase entre eux, il n'était plus nécessaire d'invoquer une inversion de phase. Une telle inversion telle que proposée par M Wolff me paraissait donc parfaitement inutile et même franchement farfelue.

Par acquis de conscience, et parce que mes nouveaux programmes faisant appel au principe de Huygens étaient très performants, j'ai entrepris de vérifier tout de même la succession des phases à l'intérieur de l'anti-nœud central de l'électron. Et alors, contre toute attente, j'y ai trouvé... une inversion de phase !

Elle est d'ailleurs très visible sur cette animation, qui représente un électron :

 

Les ondes (théoriques et non pas réelles) au centre d'un électron.

À droite, elles s'ajoutent pour former l'électron complet.

 

J'ai pu constater que la plupart des gens ne parvenaient pas à y distinguer cette inversion de phase. J'ai donc dû reprendre une partie de cette animation et y ajouter des repères verticaux qui suivent les crêtes d'ondes, dont la vitesse est (ou devrait être) celle de la lumière. Alors cette inversion d'une demi-période lorsque l'onde traverse le centre devient évidente :

 

  L'inversion de phase au centre de l'électron.

Les crêtes sont inversées de part et d'autre du centre comme le montrent les lignes verticales.

 

Plus vite que la vitesse de la lumière.

Cette animation montre très nettement que dès qu'elle pénètre à l'intérieur du noyau, l'onde accélère.

Personnellement, depuis le tout début, j'ai toujours pensé que la vitesse moyenne des ondes qui se propagent dans l'éther devrait être constante. Selon moi la vitesse de la lumière est relative à l'éther, que je présume être parfaitement homogène. La vitesse de la lumière est donc une constante absolue.

Par contre, il est bien connu que la vitesse du son, par exemple, est plus rapide au niveau de la mer que sur le sommet d'une haute montagne. En supposant que la température ne varie pas, ce phénomène s'explique parce que la pression atmosphérique est plus forte au niveau de la mer. J'explique l'amplification de l'électron de cette manière. Il se produit un « effet de lentille ». Les ondes de l'éther y sont dispersées et elles lui cèdent une partie de leur énergie.

Pour la même raison, puisque la pression est périodiquement plus forte à l'intérieur de l'anti-nœud central de l'électron, le temps d'une période entière, on comprend que la vitesse de l'onde devrait y être plus rapide à ce moment.

Comme on l'a vu plus haut, l'amplitude des ondes de l'électron peut être évaluée selon la formule suivante, en rappelant que les distances x sont évaluées en demi-longueurs d'onde, soit  l / 2 :

y = 1 / 2 x

Toutefois cette amplitude change brusquement à l'intérieur du noyau central :

y = 1 / (x 2 + 1)

Le point de jonction se situe manifestement lorsque :

1 / 2 x  = 1 / (x 2 + 1)

d'où :  x = 1

Cette égalité indique que le rayon du noyau central mesure une demi-longueur d'onde. Et alors, chaque anti-nœud mesurant une demi-longueur d'onde, il devient possible de mesurer le volume de la première couche de « l'oignon » : 

 

Le volume de la première couche est sept fois plus grand que celui du noyau central.

 

Lorsqu'elle pénètre à l'intérieur du noyau central, l'onde doit composer avec un volume sept fois moindre, d'où une compression beaucoup plus sévère de l'éther. Cette étude postule que la vitesse des ondes de l'éther est celle de la lumière et qu'elle est constante. Toutefois on admet ici que la pression à l'intérieur d'un volume d'éther plus comprimé que la normale devra accélérer la vitesse des ondes, et c'est ce qui permet d'expliquer l'effet de lentille, qui provoque l'amplification de l'électron.

Mais dans le présent cas, on présume plutôt que l'onde devra se déplacer plus rapidement à l'intérieur du noyau central de l'électron. C'est d'ailleurs aussi très visible sur cette autre animation, qui montre une vue longitudinale de l'électron, et qui a aussi été réalisée en appliquant le principe de Huygens :

 

Ce diagramme montre le total des ondelettes de Huygens provenant de la moitié gauche d'une sphère. 

 

Les ondelettes provenant d'une sphère complète reproduisent l'électron de M. Milo Wolff.

 

La pression de radiation.

Ainsi donc, les ondelettes de Huygens montrent que si elles proviennent d'une demi-sphère seulement, l'onde qui en résulte devrait se déplacer plus vite que la vitesse de la lumière en pénétrant à l'intérieur de l'anti-nœud qui forme le noyau central.

Toutefois il faut bien comprendre que cette situation ne se produit pas dans les faits, du moins dans le cas d'un électron au repos. Les ondes stationnaires résultent tout simplement d'un déplacement de la substance du médium dans un sens puis dans l'autre. Il n'y a pas d'ondes progressives d'impliquées. Les deux ondes invoquées, qui n'existent pas et qui circulent en principe en sens contraire, annulent leurs effets de toutes façons. 

Ce processus suggère fortement que si des ondes plus puissantes circulaient dans une direction donnée, elles devraient effectivement provoquer un déplacement de l'onde à une vitesse supérieure à celle de la lumière dans le noyau central de l'électron. L'amplitude des ondes n'étant pas égale dans les deux sens, ce noyau central devrait s'en trouver déplacé. Un effet Doppler devrait s'ensuivre, comprimant les ondes à l'avant et les dilatant à l'arrière.

Finalement, on aboutit à mon prototype de l'électron mobile, qui se déplace par effet Doppler :

 

L'électron se déplace par effet Doppler.

Et pourtant le centre de chaque onde sphérique demeure parfaitement au repos dans l'éther.

 

Il s'agit d'une explication très plausible et très convaincante de la pression de radiation et de l'inertie. À partir du moment où l'électron a acquis une certaine vitesse, il doit la maintenir à cause de l'effet Doppler jusqu'à ce que des ondes dont l'intensité est anormale ne viennent de nouveau modifier sa direction ou sa vitesse.

M. Milo Wolff.

Ainsi donc, que je sache, c'est M. Milo Wolff qui a proposé le premier que cette onde stationnaire sphérique devait être un électron. 

Il a postulé qu'elle devait constituer l'élément fondamental de toute matière.

Il a montré que l'électron et le positron n'étaient que deux états de la même particule.

Il a découvert l'inversion de phase qui fait l'objet de la présente page.

Il a démontré que l'augmentation de masse selon Lorentz était attribuable à l'effet Doppler.

Il a aussi fait valoir que même si un électron est perçu comme un point infiniment petit, il occupe un espace relativement grand. Il est donc en mesure de « communiquer » avec les électrons voisins, d'agir sur eux, de réagir, et de former une structure ondulatoire (Wave Structure of Matter) cohérente.

Sauf en ce qui concerne l'inversion de phase, qui conduit à un noyau central plus grand, j'en étais moi-même venu indépendamment aux mêmes conclusions.

Nos divergences disparaîtront peu a peu.

D'un autre côté je ne suis pas toujours d'accord avec M. Wolff. Je dois préciser que Mme Caroline H. Thompson n'est pas toujours d'accord avec lui non plus. J'ai pu relever dans les textes de cette dernière de nombreuses observations qui concordent avec les miennes, par exemple sur la lumière. J'ai bien l'impression que toutes ces coïncidences ne peuvent plus être seulement des coïncidences. Tout indique que nous avons trouvé le fil d'Ariane qui nous conduira un jour à la vérité.

Je suis persuadé depuis longtemps que Lorentz avait raison. La Relativité de Lorentz est parfaitement exacte, et elle est complète. L'espace et le temps ne sont que des concepts. Ils sont distincts et il n'y a donc pas d'espace-temps. En tant que tels, nous devons par convention leur accorder des valeurs, qui deviennent alors absolues. Ils ne peuvent donc pas se contracter, se dilater ni se courber. Conformément à ce qu'affirmait Lorentz, c'est plutôt la matière qui se contracte, et ce sont les horloges qui ralentissent.

Même si la Relativité restreinte d'Einstein semble exacte, elle n'en est pas moins fausse. La vitesse de la lumière n'est pas et ne peut pas être la même dans tous les référentiels galiléens. Einstein nous a orientés dans un cul-de-sac pendant 100 ans. Il nous a induits en erreur à propos des photons et de la gravité. Ses idées sur la contraction ou la courbure de l'espace-temps sont tout simplement ridicules. Pour enfoncer le clou, je suis très enclin à penser qu'il a franchement plagié puis dénaturé les idées de Lorentz et de Poincaré, qui étaient déjà connues du monde scientifique dès 1904. 

M. Yuri Ivanov a démontré vers 1990 que si leur fréquence n'était pas modifiée, les ondes stationnaires se contractaient selon une transformation plus sévère que ne l'indiquait Lorentz. Il a donc négligé de prendre en compte le ralentissement de la vitesse d'évolution de la matière, qui conduit à un ralentissement de la fréquence. Mais parce qu'il a compris que les atomes et les molécules s'assemblaient au moyen d'ondes, il en a déduit que la matière elle-même devait se contracter pour cette raison, ce qui constitue à mon sens une découverte majeure.

Je ne voudrais pas terminer cette page sans rendre hommage à ce grand pionnier qu'est  M. Serge Cabala. Il a montré vers 1970 que la Relativité était en faveur de l'éther, en une époque difficile où tous ceux qui osaient seulement prononcer ce mot étaient ridiculisés. La machine à piston qu'il montre sur sa page d'accueil est très intéressante parce qu'elle montre à la fois les effets spatio-temporels des transformations de Lorentz.

M. Cabala s'est fait récemment historien des sciences et ses nouvelles pages contiennent des renseignements très intéressants sur l'époque de Lorentz et de Poincaré.

Il devra surtout être reconnu comme étant le premier sur cette planète à avoir pressenti la nature exclusivement ondulatoire de la matière. 

 

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Gabriel LaFrenière,

Bois-des-Filion en Québec.

Dernière mise à jour le 17 juillet 2005.

Sur l'Internet depuis septembre 2002.

Courrier électronique : veuillez consulter cet avis.

La théorie de l'Absolu, © Luc Lafrenière, mai 2000.

La matière est faite d'ondes, © Gabriel Lafrenière, juin 2002.

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