LE  BLOG

par Gabriel LaFrenière.        absolu2000@hotmail.com

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Le 25 juin 2007.

Le codec MPEG-4 m'impressionne au plus haut point. Grâce à VirtualDub, qui accepte celui de DivX (mais pas celui de Microsoft), j'ai réussi à compresser à 5 MB seulement une animation de 45 secondes faisant 800 par 600 pixels. Ce qui est remarquable, c'est que la qualité des images demeure excellente.

Elle a été réalisée à l'aide du programme Ether19 cité plus bas en date du 6 janvier 2007 :

http://glafreniere.com/avi/Michelson_transversal.avi

Je rappelle que cette expérience est au moins aussi importante que celle de Michelson, car elle démontre que Lorentz avait raison de présumer que l'interféromètre devait se contracter. En effet, si l'interféromètre ne se contracte pas, l'angle de sa lame séparatrice demeure à 45°. Or les résultats montrent qu'il faut effectivement que l'angle de la lame soit modifié conformément à la contraction indiquée par Lorentz pour que le faisceau lumineux continue d'être réfléchi exactement à 90°.

Le 23 juin 2007.

Je vous présente fièrement une autre de mes nombreuses inventions, dont je parlais quelque part sur ce site, mais que je n'avais jamais vraiment étudiée. Il s'agit d'une lentille diffractive (ou réseau de Soret, à ne pas confondre avec la lentille de Fresnel) vraiment très particulière, car elle possède deux foyers au lieu d'un seul.

L'image ci-dessous montre le cheminement qu'il faut suivre pour en arriver au modèle final. Il s'agit de superposer deux lentilles diffractives de focales différentes, ici 2 et 4 mètres. Les zones en grisé étant incompatibles, elles sont obstruées, et ce qui reste en blanc est alors parfaitement en phase avec chacun des deux foyers selon le principe de Huygens.

En haut à gauche, une lentille diffractive normale, dont la focale est de 2 mètres.  

En haut à droite, une lentille semblable dont la focale est plutôt de 4 mètres.  

En bas à gauche, les deux lentilles superposées. Les zones incompatibles sont en gris.  

En bas à droite, les zones compatibles demeurent en blanc.

Voici les programmes FreeBASIC :

http://glafreniere.com/programmes/lentille_diffractive.bas

http://glafreniere.com/programmes/lentille_diffractive_a_deux_foyers.bas

Une lentille semblable pourrait remplacer le miroir semi-transparent d'un laser, les zones noires étant totalement réfléchissantes et les zones blanches totalement transparentes, ce qui revient au même en ce qui concerne la réflexion partielle nécessaire pour créer des ondes stationnaires à l'intérieur du laser. Le faisceau lumineux aurait ainsi deux foyers successifs, ce qui pourrait être très utile pour certaines applications.

Je songe en particulier à un disque compact du futur à deux couches superposées, mais ce n'est qu'une hypothèse parce que les qualités optiques d'une telle lentille sont vraiment très mauvaises. Je signale aussi, au cas où personne ne l'aurait encore suggéré, qu'il est possible de construire une lentille de Fresnel dont les couronnes de rang pair et impair produisent là aussi deux foyers distincts.

On peut aussi faire coïncider les deux foyers, mais pas tout à fait, de manière à n'en obtenir en pratique qu'un seul qui serait plus étendu. On obtiendrait une plus grande profondeur de champ, ou encore des propriétés achromatiques intéressantes.

Le paradoxe des photons !

Cette lentille démontre hors de tout doute que les photons n'existent pas. Les opticiens qui prendront la peine d'évaluer la trajectoire que devraient suivre ces prétendus photons constateront qu'elle ne peut pas être expliquée à moins d'attribuer à ces photons des propriétés tout à fait hallucinantes.

Le plus raisonnablement du monde, il faut admettre qu'une particule possède une position, et qu'elle doit suivre une trajectoire. Elle ne peut pas traverser l'un des anneaux périphériques, puis prendre la « décision » de privilégier l'un des foyers plutôt que l'autre, et surtout pas les deux à la fois. Cela l'obligerait à voyager à une vitesse différente de celle de la lumière en plus de dévier de sa course d'une manière absolument inexplicable.

Je le répète, les photons n'existent pas. Les propriétés quantiques de la lumière doivent être attribuées aux électrons, qui sont présents à la fois lors de son émission et de sa réception.

La lumière ne se comporte pas comme le feraient des particules. Elle se comporte comme le font les ondes. Que ce soit bien clair, la lumière est faite d'ondes, et ces ondes exigent la présence d'un médium, qui ne peut être que l'éther.

Le 1er juin 2007.

J'ai réussi à mettre au point une formule simple sur la correction de phase requise au voisinage d'un émetteur d'ondes sphériques :

correction = (pi / 2) * (1 - x / pi) ^ 2

On peut désormais montrer la progression correcte des ondes près du centre :

Le programme generateur_d_ondes_spheriques.bas  generateur_d_ondes_spheriques.exe qui a produit ces images ne montre qu'une courbe approchée (c'est la courbe noire selon y = 1 / v). Vous trouverez plus de détails à la page sur les ondes stationnaires sphériques.

Le 18 avril 2007.

Le programme Ether21 sur le Scanner du Temps est maintenant disponible :

http://glafreniere.com/programmes/Ether21.bas

http://glafreniere.com/programmes/Ether21.exe

 Vous verrez que la Relativité est beaucoup plus simple qu'on ne l'avait d'abord cru, puisqu'elle se résume au fait qu'il n'est jamais possible pour un observateur de vérifier au moyen de la lumière ou des ondes radio s'il se déplace ou non comparativement à l'éther. C'est que l'effet Doppler ne peut jamais être mis en évidence à cause des transformations de Lorentz.

Plus simplement, ce programme vous permettra d'abord et avant tout de comprendre quelque chose aux transformations de Lorentz. En effet, il peut afficher la valeur des variables x' et t' des équations de Lorentz en fonction des grandeurs x et t que vous aurez vous-mêmes choisies. Mais le point important, c'est qu'il montre la situation à cet instant précis, en établissant un lien très net entre l'effet Doppler d'une part, et la contraction, le décalage horaire et le ralentissement des horloges d'autre part.

Si vous le désirez, vous pouvez aussi télécharger la série complète de ces programmes :

http://glafreniere.com/programmes/Ether.zip

Ces programmes vous permettront de comprendre des tas de choses fascinantes qui ne vous ont jamais été expliquées. Ils sont écrits en  FreeBASIC et ils sont fournis avec leur code source. Si vous savez programmer, vous pouvez ainsi les examiner, les modifier et les compiler vous-même pour qu'ils conviennent à votre style. Si vous avez des doutes, vous pouvez facilement le vérifier !

Le 23 février 2007.

Tel que promis le 5 janvier, voici la première version publique du programme de M. Philippe Delmotte, qui permet d'observer le comportement des ondes dans un milieu à deux dimensions :

WS2Dv2.2.setup.zip

Le programme sera installé dans le répertoire Program Files, et vous n'aurez ensuite qu'à cliquer sur le raccourci créé automatiquement sur le bureau pour le faire démarrer. Cliquez sur l'image pour commencer, puis sur « nouveau projet » (en haut à gauche) pour mettre en place un nouveau système de votre choix. Je vous suggère de commencer par la source ponctuelle pour vous familiariser avec les autres commandes telles que : dimensions du réseau, emplacement, longueur d'onde, couleurs, luminosité, effet Doppler, observateur, etc. La « vue temporelle » devra être améliorée pour obtenir mon Scanner du Temps ; pour l'instant, vous devez régler sa vitesse à 0,7 avec ou sans effet Doppler (aussi à 0,7) étant donné que la vitesse d'impression (1 / bêta) n'est pas modifiable : elle est d'un pixel par cycle comparativement à 0,5 pixel pour la vitesse des ondes.

Retenez-bien ceci : un jour, des programmes issus ou inspirés de celui-ci seront utilisés partout sur la planète par les physiciens nucléaires, les opticiens, les acousticiens, les électroniciens, les étudiants, et par tous ceux qui voudront mieux connaître les ondes en général.

M. Delmotte a inventé « l'Éther Virtuel » en juin 2005. Il s'est inspiré des lois de Newton sur l'inertie et de l'algorithme de Verlet pour mettre au point un algorithme tout à fait original capable de produire des ondes synthétiques d'une grande perfection. Pour autant que je sache, seul M. Paul Falstad a réussi à produire des ondes aussi parfaites, mais il ne réclame pas la paternité de son algorithme. Il ne mentionne aucune date non plus, et son site ne comportait pas de telles ondes lorsque je l'ai visité il y a plusieurs années. Il n'est donc pas exclu qu'il se soit inspiré de l'algorithme initial de M. Delmotte, qui est disponible sur mon site depuis longtemps. Par ailleurs M. Jocelyn Marcotte a mis au point en janvier 2006 un algorithme différent, mais dont la perfection et la simplicité sont vraiment étonnantes. Voir le programme : Ether04_Marcotte.exe et son code source FreeBASIC : Ether04_Marcotte.bas.

 

Le 21 février 2007.  Invention du moteur à piston acoustique.

Ce moteur n'est peut-être pas véritablement une invention, car je suppose que quelqu'un, quelque part, a déjà songé à un tel dispositif. En fait, mon but est de montrer une fois de plus que les ondes stationnaires sphériques présentent des propriétés étonnantes. En particulier, la pression du gaz à l'emplacement des nœuds de pression ne varie jamais ; c'est pourquoi la présence de soupapes y devient inutile pourvu que les ondes soient suffisamment stationnaires. De plus, puisque la pression à l'échappement est constante, le moteur est remarquablement silencieux malgré l'absence de pot d'échappement. 

 

Le vert représente une pression inférieure à la pression atmosphérique.

Le rouge et en particulier le rouge clair indique que la pression sur le piston est plus forte.

 

Ce moteur doit tourner en régime constant, ce qui est un inconvénient majeur. Il serait néanmoins possible de l'utiliser dans une centrale électrique au gaz naturel, par exemple. Un moteur dont le régime serait de 60 Hz n'aurait pas besoin de roue à erre car une simple bobine d'induction faisant l'aller et retour dans un champ magnétique suffirait pour produire un courant à 60 Hz. Cette fréquence suppose une longueur d'onde de 5,6 m à la pression atmosphérique, d'où une chambre à combustion conique relativement grande faisant aussi 5,6 mètres. La pression au troisième ventre de pression situé sur la surface sphérique est de 2 * pi = 6 fois plus faible que celle qui s'exerce sur le piston.

La forme conique a un effet multiplicateur important, comme c'est le cas pour la centrale nucléaire montrée ci-dessous. Il est possible de varier l'angle du cône de manière à ajuster la compression sans avoir recours aux mélanges anti-détonants des moteurs à haute compression : ainsi la pression réelle sur le piston est ajustable et différente de celle où a lieu l'explosion. Même si la cylindrée se limite en principe au volume du ventre situé côté piston, d'autres ventres peuvent participer à la combustion tout en achevant celle du cycle précédent. Des bougies d'allumage peuvent être installées à chacun des ventres de pression, mais elles ne sont pas nécessaires dans la mesure où l'explosion peut s'effectuer spontanément par compression et par chaleur comme dans un diesel. Ce système offre donc plus de latitude pour réduire les émissions nuisibles, ce qui signifie qu'il n'aurait pas besoin non plus de convertisseur catalytique.

Puisque le piston bouge, la réflexion dure est remplacée par une réflexion molle. Il peut exister un espace étanche (facultatif) à l'arrière du piston, mais dont les dimensions devraient être très faibles. Ceux qui connaissent le fonctionnement des haut-parleurs de type « bass reflex » comprendront que le poids du piston et de son entraînement doit s'ajouter au poids de l'air dans l'espace vide de manière à obtenir une résonance maximum à 60 Hz dans le cas présent, compte tenu des pulsations qui s'exercent de l'autre côté.

De nombreux brevets d'invention.

Si j'en parle, c'est que ce moteur ne me semble pas très prometteur. Les ingénieurs qui l'examineront comprendront qu'il présente des défauts importants. Voici une fusée à propulsion acoustique :

Veuillez noter que la pression moyenne est affichée en noir ; le vert représente le vide.

Les ondes stationnaires à l'intérieur du cône produisent de fortes pulsations à la sortie.

 

J'ai aussi songé à une turbine acoustique, les pulsations renforcées montrées ci-dessus agissant comme des engrenages sur ses ailettes. Ces dispositifs sont intéressants du point de vue de la physique, mais peut-être aussi peu avantageux que le moteur d'un point de vue pratique. Ça reste à vérifier.

Je crois fermement que les ondes stationnaires sphériques permettront un jour de réaliser des dispositifs fabuleux.

J'y travaille !

 

Le 15 février 2007.

Invention de la centrale nucléaire à « fusion acoustique ».

J'annonce qu'il est désormais possible de construire des centrales électriques à fusion nucléaire en tirant parti des propriétés étonnantes des ondes stationnaires sphériques.

En ces temps difficiles, la pollution, la radioactivité et les gaz à effet de serre menacent notre planète. Il serait extrêmement avantageux de pouvoir compter sur de l'énergie électrique propre, sans les problèmes graves qui sont inévitables avec la fission nucléaire des centrales atomiques actuelles. Cela mettrait fin du même coup à la fabrication du plutonium, qui peut servir à construire des bombes dévastatrices. Aucun pays ne pourrait plus utiliser le prétexte des centrales nucléaires pour amasser de l'uranium et du plutonium. Et bien sûr on consommerait moins de pétrole et de charbon.

Pour autant que je sache, deux obstacles majeurs s'opposaient à la réalisation de centrales thermiques à fusion nucléaire. Le premier était la difficulté de confiner des gaz à des températures extrêmement élevées à l'intérieur d'un petit espace absolument libre de matériaux solides, ces derniers ne supportant pas une telle chaleur.  Le deuxième obstacle était la difficulté de réaliser les pressions énormes requises.

 En fait, il faut à la fois une pression et une température considérables pour que la fusion de l'hydrogène en hélium s'opère spontanément. C'est ainsi que la Russie a réussi à expérimenter en 1961 une bombe de 57 mégatonnes (57 millions de tonnes de TNT !) en ayant recours à une bombe au plutonium en guise de détonateur. Le projet international ITER, basé à Cadarache, y arrivera sans doute par des moyens magnétiques. Mais c'est au prix d'un matériel extrêmement complexe et coûteux. De plus, on sait que la fusion nucléaire s'opère spontanément à l'intérieur du Soleil, et qu'on y a détecté depuis longtemps des champs magnétiques formidables. Il se peut donc que les champs magnétiques aient pour effet de faciliter la fusion en plus de la contenir dans un espace restreint.

Toutefois, l'un n'empêche pas l'autre. J'ai de bonnes raisons de penser que le fait de produire des ondes stationnaires concentriques à l'intérieur du dispositif mis au point à Cadarache ne pourrait qu'améliorer son rendement...

La formule magique.

Ceux qui prendront la peine d'étudier un peu plus attentivement la formule de l'électron que M. Jocelyn Marcotte a donnée comprendront vite que la pression d'un gaz enfermé dans une sphère gigantesque peut atteindre des valeurs énormes si la longueur d'onde est relativement courte. Cette formule se lit comme suit :

y = sin(x) / x

avec  x = 2 * pi * distance / lambda

Le noyau des ondes stationnaires sphériques peut produire un pression considérable.

 La cinquième calotte sphérique (en vert) se situe à cinq longueur d'ondes du centre.

La pression au centre est : 5 * 2 * pi = 31 fois plus forte que dans cette calotte.

Mais elle serait 62 fois plus forte pour une même distance si on doublait la fréquence.

  

La variable « x » valant : 2 * pi * distance / lambda, on voit bien que la longueur d'onde est déterminante. Au centre, malgré la division de zéro par zéro, on a en réalité la pression de référence : y = 1. À partir de la pression requise pour que la fusion nucléaire s'opère, on peut facilement calculer la pression des ondelettes de Huygens sonores qu'il faut générer à la périphérie d'une sphère.

Description sommaire du procédé.

Plus la sphère est grande, plus il faut d'ondelettes et plus la pression au centre est élevée. Elle est donc pratiquement illimitée, sous réserve que la loi du carré de la distance s'applique en termes d'énergie (la pression est inversement proportionnelle à la distance). On sait que selon le principe de Huygens, le fait de générer des centaines et même des milliers d'ondelettes réparties uniformément sur une surface sphérique produit une concentration de leur énergie au centre de courbure, dans un volume d'autant plus petit que la longueur d'onde est courte. La pression peut donc y être considérable.

C'est ainsi qu'on peut produire une « tache d'Airy acoustique » à partir d'une calotte sphérique, et donc un « électron synthétique », c'est à dire des ondes stationnaires sphériques sonores, à partir d'une sphère complète. Je suppose que les acousticiens savent ça depuis longtemps, mais personne n'en parle : ils ne sont pas très bavards là-dessus...

Pour éviter d'avoir à construire une sphère démesurément grande, il faut pressuriser l'intérieur à la valeur la plus élevée possible. Les recherches que je fais présentement avec M. Marcotte indiquent qu'il existe une pression minimum en dessous de laquelle les ondes ne pourraient pas réagir correctement. C'est dû au fait que la pression dans le noyau alterne entre un minimum et un maximum. Dans un solide, le minimum est réel ; mais dans un gaz, il existe une limite, un plancher qui équivaut à zéro, c'est à dire au vide. En clair, dans un gaz, le maximum et le minimum oscillent autour d'une valeur moyenne toujours positive, et le maximum qu'il est possible d'atteindre est donc proportionnel à la pression moyenne. D'un autre côté, la vitesse des molécules dépasse largement celle du son si le gaz est chauffé, ce qui donne à penser qu'il peut alors exister malgré tout une pression négative non négligeable.

L'amplification.

J'ai expliqué sur mon site que l'électron était amplifié grâce aux ondes qui circulent sans cesse dans l'éther grâce à l'effet de lentille. Mais dans le cas de l'électron synthétique acoustique, on peut avoir recours plus simplement à un très grand nombre de petites explosions distribuées uniformément sur la surface interne de la sphère. Il faut procéder à l'amplification des ondes stationnaires jusqu'au point où la fusion peut s'opérer. Je propose d'utiliser du gaz naturel et des bougies d'allumage sur la périphérie, qui ne serviront qu'au démarrage dans le but de stabiliser les ondes stationnaires à la fréquence requise. Par la suite, puisque la pression est plus grande à l'intérieur des ventres de pression situés près du centre, la combustion du gaz naturel s'y fera spontanément, comme dans un moteur diesel. Une fois bien établie, la fréquence des ondes stationnaires devrait demeurer stable. Si nécessaire, il est possible d'installer des résonateurs pour faciliter les choses.

Après un certain temps, sans doute avec l'ajout d'oxygène, la combustion aura élevé la température centrale et la pression au point où la fusion nucléaire deviendra possible. Il serait avantageux de polir la surface interne de la sphère (si sa chaleur le permet) pour en faire un miroir concave de manière à retourner le rayonnement lumineux (qui est considérable) vers le centre. Cette sphère devrait comporter une admission à sa base et une cheminée dans sa partie supérieure pour recueillir les gaz chauds. Théoriquement, il suffira alors d'injecter un mélange d'hydrogène normal et d'hydrogène lourd pour que le processus de réaction en chaîne démarre spontanément. Cela produira du même coup une nouvelle amplification des ondes stationnaires puis leur maintien à un niveau stable sans autre apport d'énergie.

La chaleur dégagée permettra de produire la vapeur nécessaire pour alimenter des turbines classiques. Une telle centrale émettra malheureusement un son sinusoïdal constant d'une amplitude intolérable, qu'il faudra donc éliminer en l'enfouissant profondément ou en l'insonorisant, et même les deux à la fois.

Je ne suis pas un magicien.

Mon seul avantage est de bien connaître les ondes stationnaires sphériques, que personne ne semble avoir étudiées sérieusement avant moi. Ne m'en demandez pas plus : je vous assure que je n'en sais pas plus. D'ailleurs, je n'ai pas la moindre idée de la température ni de la pression requises. Ce n'est pas moi qui ai découvert le phénomène de la fusion nucléaire, qui est déjà très bien documenté, et qui produit de l'hélium à partir de l'hydrogène avec un dégagement d'énergie bien supérieur à celui de la fission nucléaire. Toutefois, parce que je suis un excellent bricoleur, je prévois que ce n'est pas encore gagné : les ingénieurs mettront beaucoup de temps à surmonter tous les problèmes, en supposant même qu'ils y arrivent un jour.

Ce procédé me paraît suffisamment prometteur pour que les grandes entreprises d'électricité gouvernementales l'étudient attentivement. C'est que même s'il ne suffisait pas seul, il serait certainement utile en complément au procédé magnétique.  Je sais qu'il aurait pu faire l'objet d'un brevet d'invention, mais étant moi-même un inventeur prolifique j'ai déjà pu constater que ces brevets n'étaient qu'une taxe sur l'imagination ; ils sont beaucoup trop coûteux et ils ne profitent que rarement à leurs auteurs, tout particulièrement si ceux-ci ont beaucoup d'idées. Un jour peut-être, ceux qui font des découvertes en seront récompensés...

 

Le 12 février 2007.

M. Jocelyn Marcotte me transmet un programme qui montre comment une seule impulsion gaussienne convergente sphérique (donc en 3-D) se comporte au moment où elle atteint le centre. Ce programme fait bien sûr appel à son propre algorithme reproduisant des ondes synthétiques. On observe qu'il se produit une réflexion « dure », puisque la période s'en trouve inversée. C'est donc confirmé : l'onde ne traverse pas le centre. Elle est bel et bien réfléchie, et sa période en est inversée.

Cela confirme que les ondes de l'électron subissent une  inversion de phase en son centre. Je tiens à préciser que cela avait été d'abord signalé par M. Milo Wolff, qui fut le premier à ma connaissance à affirmer que l'électron était fait d'ondes stationnaires sphériques. Mais l'interprétation qu'il en fait me semble suspecte. En fait je ne suis pas d'accord avec l'essentiel de sa théorie (WSM pour Wave Structure of Matter), mais pour une fois nous sommes sur la même longueur d'onde, si j'ose dire.

Je tiens toutefois à souligner que le principe de Huygens indique plutôt que les ondes convergentes traversent le noyau de l'électron, mais qu'ils y accélèrent de manière à atteindre l'opposition de phase requise pour devenir divergentes. Mais il s'agit d'un point de vue très théorique, car j'ai toujours soutenu que l'énergie des ondes stationnaires ne peut tout simplement pas passer d'un ventre à l'autre. Si l'on présume que l'amplitude est la même dans les deux sens, ce nœud est parfaitement étanche à toute transmission d'énergie.

Le 11 février 2007.

En poursuivant les travaux amorcés par M. Jocelyn Marcotte, j'ai finalement trouvé la formule de l'ondelette de Ricker :

y = x * pi ^ (x ^ 2)

...d'après la distribution normale simplifiée : y = pi ^ (x ^ 2)

M. Marcotte m'avait fait parvenir coup sur coup deux formules provisoires qui donnaient les mêmes résultats, plus complexes que celle-ci, mais plus simples que celles données par les spécialistes des tremblements de terre. Sa contribution est significative et je l'en remercie.

J'ai pu vérifier que cette formule permet de tracer une sinusoïde presque parfaite en faisant la somme de trois ondelettes de Ricker espacées d'une distance valant 2 x. On peut en augmenter la précision en ajoutant deux autres ondelettes de part et d'autre, ou même plus si nécessaire. Voici le programme :

Ricker_sinusoide.bas     Ricker_sinusoide.exe

Et en troisième lieu, à cause de la sinusoïde, j'ai découvert que cette même formule permet de créer une fonction qui détermine la valeur du sinus et du cosinus. Il s'agit d'une méthode différente de celle d'Euler, et qui semble inconnue.

Je rappelle que N. Ricker a publié en 1953 une étude sur la forme des ondes sismiques. Or grâce à sa propre version de l'Éther Virtuel, M. Jocelyn Marcotte a déjà démontré expérimentalement en mai 2006 que cette ondelette était correcte. Le programme qui en rend compte est le suivant :

Ricker_Marcotte.bas     Ricker_Marcotte.exe

Cet autre programme trace les courbes seulement :

Ricker.bas     Ricker.exe

Lorsque nous avons entrepris cette expérience, je m'attendais à obtenir plusieurs rebonds après une impulsion dite gaussienne, c'est à dire selon la loi normale. Or il ne s'en produit qu'un seul, et l'ondelette de Ricker qui en résulte laisse ensuite la partie centrale du médium parfaitement libre de toute perturbation.

La distribution normale simplifiée.

Ces résultats suggèrent fortement que  la formule simplifiée  y = pi ^ (x ^ 2) est tout à fait justifiée, du moins lorsqu'il est question d'ondes évoluant dans un médium à trois dimensions. Je suppose que celle-ci existait déjà dans la littérature scientifique, mais parce qu'elle n'est semble-t-il jamais citée, j'ai dû la réinventer moi-même à partir de la formule standard. C'était à l'époque où je travaillais sur la tache d'Airy dans le but d'obtenir une apodisation. J'avais pu vérifier que la formule simplifiée fonctionne à merveille là aussi. En tous cas, on peut se passer d'une moyenne et d'un écart type. On sait que la formule de la distribution normale standard dite de Gauss-Laplace (d'où l'expression : impulsion gaussienne) est bien plus complexe et difficile à interpréter, à cause de la présence parfois inutile de ces deux variables.

Je tiens à répéter que l'éther virtuel est un véritable laboratoire. Grâce à lui, nous sommes en mesure de vérifier les résultats et d'en établir les formules d'une manière incontestable. Voici une image produite par le programme Ricker_Marcotte :

 

Le programme Ricker_Marcotte reproduit des ondes dans un médium à trois dimensions.

Grâce à lui, il devient possible d'établir ou de confirmer les formules des ondes sphériques.

C'est d'ailleurs M. Marcotte lui-même qui a établi les formules de l'électron.

Ces formules sont fondamentales puisque la matière est faite d'ondes...

 

Le 23 janvier 2007.

Je viens de terminer mon nouveau programme Ether20.

Son titre est on ne peut plus clair : « La lumière traverse les objets ». Si vous en doutez (et je comprendrai !) étudiez attentivement le programme suivant, qui produit des images étonnantes :

Ether20.exe    Ether20.bas

Ce programme démontre qu'un écran produit à la fois une ombre et une réflexion qui peuvent être expliquées de deux manières différentes. À priori, elles sont tout aussi acceptables l'une que l'autre puisque les résultats sont identiques.

Mais si la matière est faite d'ondes, il devient nécessaire de considérer qu'elle est incapable d'arrêter d'autre ondes, c'est à dire celles de la lumière. En pareil cas, c'est l'explication la plus étonnante qu'il faut retenir : la lumière traverse librement tout objet, mais les électrons présents dans ses atomes réagissent à cette lumière en émettant d'autre lumière en opposition de phase.

Il se produit une ombre à l'arrière à cause des interférences destructives. En vertu de la loi de la conservation de l'énergie, cela suppose que l'énergie doit se manifester ailleurs. C'est pourquoi il se produit aussi une réflexion apparente, qui est en réalité de la nouvelle lumière émise par les électrons grâce à cette énergie. Et enfin, on peut considérer que la lumière invisible est toujours présente à l'arrière, particulièrement à plus grande distance, puisque c'est ce que la sommation des ondelettes de Huygens indique !

D'ailleurs, il existait deux indices qui donnaient à penser que c'est bien ce qui se passe. Le premier, c'est que les ondes radio, les rayons X et les rayons gamma traversent effectivement la matière. Ce n'est pas banal : la quasi-totalité du spectre invisible traverse bel et bien la matière, parfois sur une épaisseur considérable.

Le deuxième indice est encore plus troublant, puisqu'il est bien connu des radioélectriciens. Ceux-ci savent que les ondes radio qui rencontrent un fil métallique provoquent l'apparition de courants à l'intérieur du métal. Ce sont les électrons libres présents dans ce métal qui en sont déplacés et qui à leur tour provoquent l'apparition de champs électriques et magnétiques. L'onde qui en résulte est bel et bien en opposition de phase, et cela est aussi vrai dans le cas d'un dipôle dit parasite que d'un dipôle alimenté, tous deux étant accordés à la résonance.

Pour suivre la même logique, cela s'applique aussi à un écran plat fait d'un grand nombre d'antennes parasites. Il devient impossible de capter le signal à l'arrière : on est dans l'ombre de l'écran, exactement comme le montre mon programme. Ce qu'il faut retenir, ce n'est pas que les ondes planes ont été interceptées, c'est que les parasites ont émis de nouvelles ondes en opposition de phase.

Voici des images obtenues grâce à ce programme Ether20 :

Les ondes planes proviennent de la gauche.

En haut, ces ondes rencontrent une obstruction mesurant 10 longueurs d'onde : il en résulte une ombre. 

 En bas, l'obstruction est remplacée par une source qui émet des ondes en opposition de phase.

Le graphique de droite montre que l'ombre ainsi produite est identique.

Cette ombre est le résultat des interférences additives et soustractives causées par deux sources.

 

Le 14 janvier 2007.

Vous pouvez maintenant télécharger deux vidéos qui montrent que la lame séparatrice de l'interféromètre de Michelson doit s'incliner selon la contraction indiquée par Lorentz, tel qu'expliqué ci-dessous en date du 6 janvier. Les quatre directions possibles sont représentées.

ether19_axial_petit.wmv      ether19_transversal_petit.wmv

Ces vidéos au format mpeg-4 wmv de Microsoft ont été réalisées à l'aide de VirtualDub et de Windows Movie Maker, tous deux gratuits. Vous comprendrez que je dois me montrer parcimonieux en ce qui concerne le volume de ces vidéos, et c'est pourquoi j'ai réduit le format à 320x240. La première montre un faisceau de départ orienté sur l'axe alors que la deuxième montre un faisceau orienté transversalement. Dans ce cas, le plan des ondes est incliné selon l'angle thêta = arc sin (v/c). Veuillez noter toutefois que vous obtiendrez de bien meilleures images avec le programme Ether19 ci-dessous.

 

Le 6 janvier 2007.

Mon nouveau programme montrant le miroir de l'interféromètre de Michelson est maintenant disponible sur l'Internet :

Ether19.exe    Ether19.bas

Pas de doute, il s'agit d'une étape cruciale. Ce programme montre que Lorentz avait tout à fait raison de présumer que l'interféromètre de Michelson devait se contracter en fonction de sa vitesse à travers l'éther. Dans ce cas, l'angle de sa lame séparatrice ne pourrait plus demeurer à 45°. Or les résultats montrent qu'il faut effectivement que l'angle de la lame soit modifié conformément à la contraction indiquée par Lorentz pour que le faisceau lumineux continue d'être réfléchi exactement à 90°.

Voici deux diagrammes produits par le programme Ether19 :

Ces deux systèmes se déplacent vers la droite à la moitié de la vitesse de la lumière.

À gauche, le faisceau convergent est dévié par une lame séparatrice inclinée selon Lorentz.

À droite, l'angle de la lame a été maintenu à 45° exactement : le résultat est incorrect.

Voici l'animation AVI correspondante produite par le programme Ether19 :

http://glafreniere.com/avi/Michelson_transversal.avi

 

De plus en plus, les preuves s'accumulent en faveur de Lorentz. Tous ceux qui seront en mesure de le vérifier ne pourront que se rendre à l'évidence : il n'existe jusqu'à maintenant aucune indication qui donne à penser que l'hypothèse d'une contraction réelle de l'interféromètre et donc de la matière doit être rejetée. En fait, puisque c'est la seule hypothèse acceptable, elle doit plutôt être retenue.

Je rappelle que mon programme précédent Ether18 montrait différents phénomènes ondulatoires comme la tache d'Airy et la diffraction de Fresnel, tels qu'ils se présentent si le système se déplace. Là encore, la structure de la figure de diffraction demeure inchangée, de telle sorte qu'il est impossible pour un observateur qui se déplace avec ce système de remarquer la moindre anomalie.

Ci-dessous, les ondes convergentes transversales produisent une tache d'Airy (en deux dimensions) dont la structure générale demeure invariante, du moins aux yeux de l'observateur. Il ne pourra constater ni la contraction, ni l'inclinaison des ondes selon l'angle thêta = arc sin(v/c).

À gauche, la tache d'Airy produite par une source en arc de cercle au repos dans l'Éther Virtuel.

Au centre, la même image traitée par le Scanner du Temps selon v = 0,5 c.

À droite, la même situation (v = 0,5 c) dans l'Éther Virtuel.

 

Le 5 janvier 2007.

M. Philippe Delmotte est sur le point de livrer au grand public une première version de son programme. Dans sa forme actuelle, ce programme est déjà capable de montrer de nombreux phénomènes ondulatoires. Ce sera désormais un outil incontournable pour tous ceux qui travaillent dans le domaine des ondes, et donc en optique, en acoustique, en électronique, etc., et bien évidemment en mécanique ondulatoire, qui sera la physique nucléaire de demain...

Depuis plusieurs mois, j'ai eu la chance d'examiner ses programmes successifs.

M. Delmotte m'a également fait parvenir des documents sur différentes méthodes permettant d'obtenir des ondes et des oscillations. L'un de ces documents montrait une courbe qui m'était familière, mais dont j'ignorais le nom : il s'agit de « l'ondelette de Ricker » (à ne pas confondre avec Charles Richter, le créateur de l'échelle bien connue qui sert à mesurer les tremblements de terre).

En effet, N. Ricker a publié en 1953 une étude sur la forme des ondes sismiques. Or grâce à sa propre version de l'Éther Virtuel, M. Jocelyn Marcotte a démontré expérimentalement que cette ondelette était correcte. Il a montré comment une impulsion selon la distribution normale (gaussienne) évolue dans un milieu à trois dimensions ; or après une demi-période, on obtient précisément cette courbe, puis une courbe voisine qui se propage. Vous pouvez consulter la note à ce propos, faite en mai 2006, à la page sur les nouvelles découvertes. Voici comment évolue cette impulsion gaussienne :

L'ondelette de Ricker selon Jocelyn Marcotte.

Le 1er janvier 2007.

J'ai archivé la page où je me suis employé à consigner par écrit toutes les découvertes à propos de la nature ondulatoire de la matière. Si vous avez des raisons de penser qu'elle comporte des erreurs, veuillez m'en aviser et je ferai la correction s'il y a lieu.

Dans la présente page, les événements les plus récents figureront en premier, comme c'est la règle pour tout blog qui se respecte. J'ai l'intention d'y rapporter non seulement les nouvelles découvertes importantes, mais aussi les événements les plus significatifs. J'y insérerai aussi vos commentaires si vous m'y autorisez, à la condition bien sûr qu'ils soient pertinents.