LES  POSTULATS  DE  LA  THÉORIE  DES  ONDES.

Retour à  la théorie des ondes.

À lui seul, l'électron explique l'Univers.

 

          Page d'accueil :  La matière est faite d'ondes.

 

La théorie de l'Absolu.

Le but de ce site est de montrer que la matière est faite d'ondes, et que ce sont également des ondes qui sont responsables de toutes les forces. On y explique le mécanisme des phénomènes physiques fondamentaux, et la page d'accueil en fait le survol. 

Toutefois l'ensemble de ces sujets ne constitue pas un tout en soi. Il fallait en faire la synthèse, plus centrée sur la matière que celle qui avait déjà fait l'objet d'une première publication en mai de l'an 2000 sous le nom de La Théorie de l'Absolu.

Ce titre avait bien sûr été choisi pour faire contrepoids à la célèbre théorie de la Relativité d'Albert Einstein. Il s'agissait de démontrer qu'il existe toujours deux points de vue en matière de physique. Il y a ce qui se passe réellement, qui est absolu, et ce que nous constatons, qui est souvent relatif. Le meilleur exemple qu'on puisse en donner est l'effet Doppler, qu'il est impossible de déceler en présence d'un vent constant, mais qui se produit tout de même.

Einstein prétend que la vitesse de la lumière est la même dans tous les référentiels galiléens, mais c'est inexact. Il est vrai qu'elle y semble la même, mais dans les faits, puisque nous nous déplaçons sûrement à travers l'éther, la lumière subit bel et bien l'effet Doppler.

Puisqu'on parlera ici d'ondes, et uniquement d'ondes, le titre « La théorie des ondes » est plus approprié. Après tout la Relativité n'est somme toute qu'une curiosité, alors qu'une explication mécanique complète et cohérente de la matière à l'aide d'ondes exclusivement constitue à mon sens une révolution sans précédent dans l'histoire des sciences.

La théorie des ondes en bref.

Puisqu'il est ici question d'ondes, qui ont besoin d'un médium, il faut postuler dès le départ que l'éther existe. La matière est faite uniquement d'électrons. Ces électrons sont des ondes stationnaires sphériques mobiles qui tirent leur énergie des ondes qui se propagent dans l'éther. Toutes les forces de la nature s'expliquent par les ondelettes que les électrons émettent, et qui exercent une pression de radiation dans la mesure où elles se composent ou se détruisent, selon le principe de Huygens. Et enfin, le résultat d'une telle pression est le mouvement.

La pression des ondes est la force, et le mouvement de la matière est l'énergie. Par ailleurs, en présence d'ondes et de mouvement, l'effet Doppler est inévitable. Cela nous conduira sans difficulté aux transformations de Lorentz.

Étonnamment, à la seule condition de postuler que l'éther existe et que la matière est faite d'ondes stationnaires sphériques, on en déduit finalement que la Relativité telle que la concevait Lorentz doit se vérifier. Bien sûr, c'est une illusion, mais c'est effectivement ce que nous devrions constater.

Voilà donc toute la théorie des ondes résumée en quelques mots.

La page suivante en fait une analyse plus approfondie :

La théorie des ondes.

Mais il serait bon de jeter d'abord un coup d'œil aux postulats qui suivent.

Les postulats.

Cette page reprend sensiblement les mêmes « assertions » que celles qui figuraient dans La Théorie de l'Absolu. Ici, on utilisera plutôt le mot postulat, qui rappelle Euclide sans pour autant signifier « évidence ».

 

  1. L'éther existe.

  2. Les électrons sont faits d'ondes stationnaires sphériques capables de se déplacer.

  3. Chaque électron tire son énergie des ondes circulant dans l'éther, par effet de lentille.

  4. La vitesse de la lumière et des ondes qui circulent dans l'éther est constante et absolue.

  5. La fréquence de tous les électrons au repos est constante.

  6. La matière est composée uniquement d'électrons.

  7. Toutes les forces agissent par les ondelettes de Huygens émises par les électrons.

  8. La pression de radiation est la seule force fondamentale, et c'est une force répulsive.

  9. Le mouvement est le résultat de la pression de radiation.

  10. La masse de la matière correspond à l'énergie de ses ondes.

  11. L'effet d'ombre est une force attractive agissant par une pression supérieure en sens opposé.

  12. La loi de l'Invariance des phénomènes physiques énoncée par Henri Poincaré est exacte.

  13. L'action et la réaction sont assujetties à l'effet Doppler et elles sont simultanées.

  14. Toute énergie est le résultat d'un mouvement.

  15. La vitesse de la lumière est la seule vitesse fondamentale, tout autre déplacement étant composite.

  16. Le référentiel privilégié est cartésien et il est présumé au repos absolu dans l'éther.

  17. L'espace et le temps sont liés à la fréquence et à la longueur d'onde de l'électron.

  18. Tout effet a une cause, et les effets produisent de nouvelles causes qui agissent par les ondes de l'éther à la vitesse de la lumière.

  19. Les transformations de Lorentz sont réelles et elles sont absolues.

  20. Les faits sont absolus.

  21. La loi de la Relativité ne prévoit que les apparences.

  22. La gravité provient du fait que les ondes rayonnées par la matière sont sphériques.

  23. La lumière est le résultat de l'action conjuguée des ondelettes sphériques émises par les électrons.

Et maintenant, voyons cela de plus près.

 

LES  POSTULATS  DE  LA  THÉORIE  DES  ONDES

 

1 - L'ÉTHER

Descartes a découvert l'éther (d'après la mythologie grecque, Aiqhr ou Aithêr) en notant que les ondes de la lumière avaient besoin d'un médium. Toutefois, parce que la matière est faite d'ondes, et parce que toutes les forces s'expliquent également par des ondes, ce n'est plus seulement la lumière qui est concernée, mais l'Univers entier. L'importance de l'éther s'avère maintenant capitale.

Il s'agit bien évidemment d'un milieu élastique capable de véhiculer des ondes sans pertes. Toutefois sa véritable nature risque de demeurer pour toujours un mystère. Contrairement à ce que prétendait Fresnel, les ondes de la lumière ne vibrent pas transversalement, et il est donc inutile de prévoir un éther « rigide » particulier capable de véhiculer de telles ondes.

D'un point de vue mathématique, l'infini n'existe pas. Si c'est bien le cas physiquement, il existe une possibilité que ce milieu prenne progressivement de l'expansion puisqu'il est élastique, ce qui pourrait expliquer l'expansion de l'Univers. Ce phénomène provoquerait un effet Doppler très particulier.

On peut affirmer que l'Univers matériel est composé uniquement d'éther, et alors le premier postulat s'impose :

 

L'éther est une substance homogène et élastique qui occupe un espace immense mais fini et qui justifie  l'existence des ondes stationnaires dont la matière est faite, de même que l'existence des ondes longitudinales responsables de toutes les forces qui contrôlent cette matière.

 

2 - LES ÉLECTRONS

On montre à la page sur les ondes stationnaires qu'un système fait d'ondes sphériques appelées à tort stationnaires peut très bien se déplacer par effet Doppler. Chaque unité est identique et s'avère être un électron. Il s'agit d'un oscillateur autonome dont l'essentiel de l'énergie est limité dans un espace relativement petit, et qu'il faut éviter de considérer comme fait d'ondes convergentes et divergentes. Parce que les ventres et les nœuds des ondes stationnaires apparaissent deux fois par période, il peut exister deux spins distincts, ce qui permet aussi l'existence de deux antiparticules qui vibrent à la quadrature, les positrons. Fondamentalement, il s'agit de la même particule, dont le fonctionnement est décrit à la page sur les électrons.

Les électrons ont été créés peu à peu par les ondes qui circulent dans l'éther selon un processus identique à celui qui permet la formation du disque d'Airy, à la suite d'une situation hautement improbable mais possible qui fait en sorte qu'un grand nombre d'ondes provenant de différentes directions et à la même fréquence parviennent en phase en un point donné.

 

Les électrons sont des ondes stationnaires sphériques qui se déplacent par effet Doppler.

 

3 - L'AMPLIFICATION

Tout système fait d'ondes stationnaires rayonne normalement toute son énergie et il disparaît. Pour subsister, il faut donc qu'il soit alimenté en énergie. Ce processus d'amplicication s'explique par l'effet de lentille, comme on le montre à la page sur la mécanique ondulatoire.

À l'origine, c'étaient les ondes déjà présentes dans l'éther qui alimentaient chaque nouvel électron en énergie. Ces ondes ont été peu à peu remplacées par les ondes que tous les électrons de l'Univers émettent. Elles constituent une réserve abondante et inépuisable d'énergie, qui est recyclée indéfiniment par les électrons, et redistribuée dans toutes les directions.

 

Chaque électron est alimenté en énergie par tous les autres électrons de l'Univers.

 

4 - LA VITESSE DE LA LUMIÈRE

Il est bien établi et vérifié que peu importe sa fréquence ou son amplitude, toute onde qui se propage dans un médium stable et homogène le fait à une vitesse constante. Toutes les ondes qui se propagent à travers l'éther, y compris celles qui sont responsables de la lumière, le font donc certainement à la même vitesse. Nous ne mesurons pas cette vitesse de la même manière selon notre propre mouvement à travers l'éther, mais elle n'en est pas moins constante et absolue.

 

La vitesse des ondes de l'éther est constante et absolue.  

 

5 - LA FRÉQUENCE CONSTANTE DES ÉLECTRONS

Le spin distinct des électrons et des positrons s'explique par leur période d'oscillation relative, ce qui suppose qu'ils vibrent tous sur la même fréquence. Cette uniformité s'explique par la nature homogène de l'éther et par la constance de l'énergie des ondes qui s'y propagent. La très haute fréquence s'explique par le fait que toute amplification tend à accélérer la fréquence d'un phénomène vibratoire, quand c'est possible, et jusqu'à ce qu'une limite physique soit atteinte. De plus, chacun d'eux se synchronise sur la fréquence des électrons voisins, ce qui explique qu'il n'existe pas de positrons à l'état libre.

La longueur d'onde de ce système est incroyablement petite, certainement moins de 10 ^ 18 mètre. Toutefois, plusieurs physiciens ont découvert récemment que les ondes stationnaires subissent les transformations prévues par Lorentz. S'ils accélèrent, les électrons doivent donc ralentir cette fréquence selon la première loi de Lorentz, qui est énoncée plus bas.

 

La fréquence de tous les électrons au repos est la même, et celle de ceux qui se déplacent ralentit selon la première loi de Lorentz.

 

6 - LA MATIÈRE EST FAITE UNIQUEMENT D'ÉLECTRONS

Toute autre particule qu'un électron ou un positron est un ensemble d'électrons ou de positrons. Il s'y ajoute un système ondulatoire secondaire résultant de l'addition des ondes de chacun d'eux. Il peut s'agir d'un champ électrostatique, magnétique ou gluonique. Ces systèmes secondaires constituent de la matière à toutes fins pratiques, mais ils ne peuvent exister sans la présence des électrons. C'est le cas par exemple à l'intérieur des quarks et entre ceux-ci, et aussi entre les protons et les neutrons dont les atomes sont faits. On peut donc affirmer que :

 

Les électrons sont universels.

 

7 - LES ONDELETTES DE HUYGENS

Les électrons rayonnent de l'énergie en permanence sous la forme d'ondelettes sphériques qui rappellent les ondelettes de Huygens. Conformément au principe de Huygens, mais avec la nuance qu'elles existent en nombre fini, ces ondelettes ajoutent ou retranchent leur énergie en un point donné, ce qui permet d'expliquer toutes les forces de la nature y compris la lumière et sa polarisation.

Les neutrinos n'existent pas. Les photons n'existent pas. Les ondes électromagnétiques de Maxwell n'existent pas. L'aspect quantique de la lumière doit être attribué à l'électron.

 

Les électrons rayonnent en permanence de l'énergie empruntée aux ondes de l'éther, sous la forme d'ondelettes sphériques qui sont responsables de la lumière et de toutes les autres forces.

 

8 - LA  PRESSION  DE  RADIATION

Les ondes de l'éther possèdent la propriété d'accélérer ou de ralentir les électrons, et donc la matière. Elles exercent une force, la pression de radiation. Puisque c'est la seule force, ceci permet de confirmer l'unification de toutes les forces. Ce phénomène est décrit à la page sur la mécanique ondulatoire.

 

La pression de radiation est la seule force.

 

9 - LE  MOUVEMENT

Il n'existe pas de force attractive, tout effet d'attraction étant le résultat d'une composante de forces en sens opposé. La pression de radiation est une force répulsive, qui a pour effet d'accélérer la matière, de la ralentir, ou de modifier sa direction. Le résultat d'une telle pression est le mouvement.

 

L'effet de  la pression de radiation est le mouvement.

 

10 - L'ÉQUIVALENCE  MASSE-ÉNERGIE

Le mouvement d'un électron s'explique par l'effet Doppler que ses ondes subissent, et alors l'action de ces ondes peut être comparée à celle d'un « bang subsonique ». La théorie des ondes montre que l'énergie cinétique qui en résulte peut s'expliquer en invoquant des forces actives et réactives qui varient en fonction de la vitesse, donc de l'effet Doppler. Le calcul de ces forces permet de démontrer du même coup que l'action et la réaction, comme la masse de la matière, varient aussi en fonction de l'effet Doppler. 

 

La masse de la matière s'explique par l'énergie de ses ondes, et puisque tout mouvement comprime ces ondes par effet Doppler, il en résulte une augmentation de leur énergie, et donc de leur masse.

 

11 - L'EFFET  D'OMBRE

Les électrons absorbent une partie de l'énergie des ondes qui circulent dans l'éther. Ces ondes étant affaiblies en provenance de toute accumulation de matière, les ondes venant en sens inverse s'en trouvent plus puissantes en comparaison. C'est l'effet d'ombre, une force attractive.

Normalement, la pression de radiation des ondes provenant de chaque électron annule cette force. Par contre, s'ils sont mis en présence, deux électrons rayonnent leur énergie principalement sur l'axe qui les unit. Il se produit donc un effet de répulsion sur cet axe et un effet d'attraction dans les autres directions. À l'exception de la gravité, on en conclut qu'à tout effet d'attraction correspond un effet de répulsion de force égale.

 

L'effet d'ombre est une force attractive qui résulte d'une composante de forces en sens opposé.

 

12 - L'INVARIANCE  DES  PHÉNOMÈNES  PHYSIQUES

Le deuxième postulat de la théorie de la Relativité d'Albert Einstein affirmait que : « les lois de la nature sont les mêmes dans tous les référentiels galiléens ». 

Il convient de préciser que c'est plutôt Henri Poincaré qui a fait cette découverte. Étant donné son importance, on pourra parler de « la loi des lois ». En effet, Poincaré a fait la déclaration suivante dès 1904, en parlant d'ailleurs aussi le premier de la Relativité :

 

Les lois des phénomènes physiques sont les mêmes pour un observateur fixe et pour un observateur entraîné dans un mouvement de translation uniforme, de sorte que nous n'avons et ne pouvons avoir aucun moyen de discerner si nous sommes, oui ou non, emportés dans un pareil mouvement.

 

13 - L'ACTION ET LA RÉACTION

Selon la troisième loi de Newton, toute action devrait être accompagnée d'une réaction de force égale mais de sens opposé. Mais c'est inexact. Sachant que c'est le mouvement qui détermine l'intensité d'une force, et qu'il s'agit d'ondes, il faut s'attendre à ce que l'effet Doppler soit impliqué. D'un point de vue absolu, on peut aussi remarquer que ces forces n'agissent pas nécessairement en sens opposé.

Toutefois, à la condition de les observer dans le référentiel du champ de force qui les cause, il est impossible de distinguer l'action et la réaction. Elles apparaissent égales et de sens opposé. Cela conduit à un « principe de double action » qui permet de contourner les transformations de Lorentz et la Relativité. On peut ainsi récupérer les lois de Newton en toute légitimité.

Il faut préciser que même si des forces comme la gravité agissent à la vitesse de la lumière, le délai est le même dans les deux directions, ce qui signifie que l'effet est simultané. S'il ne l'est pas d'un point de vue absolu à cause d'un déplacement, les transformations de Lorentz (selon la loi de l'Invariance indiquée ci-dessus) font en sorte que ces forces agissent quand même simultanément et proportionnellement d'un point de vue mécanique.

 

Les forces d'action et de réaction sont assujetties à l'effet Doppler et elles sont simultanées.

 

14 - L'ÉNERGIE

Dès qu'une force est appliquée sur la matière, son mouvement en est modifié. La matière qui se déplace comprime ses ondes par effet Doppler, ce qui augmente leur fréquence et donc l'énergie qu'elles contiennent. Il peut arriver que cette énergie soit pour ainsi dire « mise en conserve » dans le cas des champs gluoniques, un peu comme s'il s'agissait d'un ressort. Mais à la base, toute énergie est liée à un mouvement.

 

Toute énergie est le résultat d'un mouvement.

 

15 - TOUT DÉPLACEMENT EST COMPOSITE

Tout déplacement est le résultat d'une suite de mouvements de va-et-vient longitudinaux ou en zigzag, toujours effectués à la vitesse de la lumière. Toute vitesse supérieure est impossible, et toute vitesse inférieure résulte de la composition de déplacements en tous sens qui sont toujours effectués à la vitesse de la lumière, et qui justifient la première loi de Lorentz citée plus loin.

Toute autre vitesse que celle de la lumière prend un aspect composite. Ces mouvements sont évidemment ceux des ondes de la matière, mais il faut préciser que leur mécanisme implique plus exactement la substance de l'éther. Celle-ci n'est pas déplacée à la vitesse de la lumière, mais le déplacement moyen correspond à cette vitesse.

 

La vitesse de la lumière est la seule vitesse fondamentale. 

 

16 - LE RÉFÉRENTIEL DE DESCARTES

Descartes a découvert l'éther et le système de coordonnés à trois axes qui porte maintenant son nom. Dès ce moment le principe de Relativité de Galilée aurait dû être réputé invalide. Un référentiel dit galiléen est incompatible avec le mouvement absolu, tel que mesuré dans un référentiel cartésien présumé au repos dans l'éther, et dont les valeurs de l'espace et du temps sont absolues.

D'un point de vue strictement mécanique, les transformations de Lorentz étaient déjà prévisibles dès l'époque de Descartes, mais ce n'est que vers 1885 que Woldemar Voigt et Albert Michelson en ont trouvé indépendamment les valeurs préliminaires.

 

Le référentiel privilégié est cartésien et il est présumé au repos absolu dans l'éther.

 

17 - L'ESPACE ET LE TEMPS NE SE TRANSFORMENT PAS

Qu'on le veuille ou non, les valeurs qui nous servent à évaluer l'espace, le temps ou la vitesse sont établies par convention selon la loi du plus fort. Éventuellement, ces valeurs devront être rapportées à l'électron, qui constitue l'étalon par excellence, et alors elles seront définitives. En vertu de la loi de la Relativité énoncée plus loin, cet électron sera présumé au repos. Cela devrait clore toutes les discussions qui menaient jusqu'à ce jour à un cul-de-sac.

Contrairement à ce qu'Albert Einstein affirmait, l'espace et le temps ne se transforment pas. Il ne s'agit que de concepts, qui n'ont aucune existence matérielle. Parler de la contraction de l'espace et de la dilatation du temps est tout simplement absurde. Affirmer que la gravité courbe l'espace relève du délire, à plus forte raison sans expliquer pourquoi ni comment la gravité pourrait y arriver.

Il est certain que les scientifiques du futur se dilateront la rate devant la naïveté et la crédulité des scientifiques du 20e siècle.

 

Les valeurs de l'espace et du temps ont un lien avec la longueur d'onde et la fréquence de l'électron présumé au repos.

 

18 - LE  PRINCIPE  DE  CAUSALITÉ

La mécanique ondulatoire montre clairement que tout événement est la cause de nouveaux événements, et que ce processus se répète indéfiniment en cascade.

Le mouvement d'un corps matériel est un effet qui produit de nouvelles causes. On est en présence d'électrons rayonnant de l'énergie cinétique sous la forme d'ondelettes comprimées par effet Doppler. Là où elles se composent positivement ou négativement, ces ondelettes exercent une pression de radiation anormalement forte ou faible par l'intermédiaire d'un champ de force fait d'ondes stationnaires. Il en résulte une force positive ou négative qui modifie le mouvement d'un autre corps, ce qui constitue un effet. Mais alors le processus redémarre, ce qui est le propre d'une réaction en chaîne.

 

Tout effet a une cause, et les effets produisent de nouvelles causes qui agissent par les ondes de l'éther à la vitesse de la lumière.

 

19 - LES  TRANSFORMATIONS  DE  LORENTZ

Lorentz avait raison. La matière se transforme réellement comme il l'a indiqué, et il faut donc en déduire une nouvelle loi qu'il faudra nommer « la première loi de Lorentz » :

 

La matière subit une contraction sur l'axe de son déplacement de la même manière que les ondes dites stationnaires dont elle est faite, à cause de l'effet Doppler et selon sa vitesse absolue à travers l'éther, cette contraction étant compensée par un décalage horaire, une augmentation de sa masse et un ralentissement de sa vitesse d'évolution.

 

20 - LES FAITS SONT ABSOLUS

Henri Poincaré a fait erreur en proposant des équations à effet réciproque. L'espace et le temps n'ont pas d'existence réelle. À partir du moment où l'on convient de leur affecter des valeurs, il faut s'en tenir à ces valeurs, contre vents et marées. Peu importe la vitesse d'un système, ce qui s'y passe doit d'abord être rapporté à un référentiel présumé au repos dans l'éther, même si ce n'est pas le cas. On obtient alors une référence arbitraire mais efficace, car cette référence ne change pas. C'est à partir de cette référence qu'il faut ensuite évaluer ce qu'un observateur mobile observera.

Il est vrai que c'est invérifiable. Mais il est clair qu'un observateur au repos observe les faits tels qu'ils se produisent, alors qu'un observateur en mouvement est victime d'une illusion à cause de l'effet Doppler. Il n'y a donc pas de véritable réciprocité. Il n'y a pas de véritable Relativité.

Le général de Gaulle disait : « Les faits sont tenaces ». Plus exactement, ils sont absolus. Cela signifie qu'ils ne sont soumis à aucune condition. Ils ne peuvent pas différer selon le point de vue.

 

Les faits sont absolus. 

 

 

21 - LA  LOI DE LA RELATIVITÉ

Toutefois il faut convenir que la Relativité prévoit très bien ce que seront nos illusions. Elle est donc utile, et même nécessaire. Parce que c'est Lorentz qui en a donné la version exacte, il faudra désormais parler de la Relativité de Lorentz. À peu ce choses près, elle correspond à la théorie de la Relativité restreinte d'Albert Einstein.

Mais contrairement à celle d'Einstein, elle permet également d'expliquer ce qui se passe vraiment, d'une manière mécanique, ce qui est un avantage considérable. Elle permet entre autres de lever le fameux paradoxe des jumeaux et d'expliquer certains phénomènes comme l'effet Sagnac. Elle n'admet pas de vitesse supérieure à celle de la lumière, ce qui signifie qu'on a certainement fait erreur en interprétant certains phénomènes dits instantanés comme l'effet EPR. Il faut remarquer que contrairement à la Relativité d'Einstein, que personne n'a jamais vraiment comprise, la « Loi de la Relativité des Apparences » de Lorentz peut se résumer à cet énoncé d'une étonnante simplicité :

 

De son point de vue, tout corps matériel semble au repos, et tout autre corps ne semble agir, réagir et se conformer à la première loi de Lorentz que selon sa vitesse apparente.

 

22 - LA  GRAVITÉ

La gravité n'est pas la « force fondamentale de l'univers ». C'est une force comme les autres, et comme toutes les forces elle est attribuable à des champs de force faits d'ondes stationnaires.

La formule de Newton est exacte en première approximation. Toutefois on peut prévoir que la gravité devrait présenter de nombreuses anomalies, dont il faudrait tenir compte pour expliquer certains phénomènes résiduels comme le déplacement du périhélie de Mercure. Il apparaît surtout évident que la constante gravitationnelle « G » n'est pas vraiment constante : il existe une gravité absolue.

La gravité s'explique par le fait que les ondes rayonnées par la matière sont sphériques, ce qui produit des champs de force d'autant plus faibles que leur rayon de courbure est faible.

 

La gravité provient du fait que les ondes rayonnées par la matière sont sphériques.

 

23 - LA LUMIÈRE

La lumière est faite des ondelettes sphériques à fréquence unique émises par les électrons, mais sur une fréquence secondaire plus basse, et seulement lorsque les électrons sont déstabilisés. Ils oscillent alors autour du noyau de leur atome à la manière d'un pendule. S'ils oscillent en ligne droite, la lumière est polarisée. C'est aussi le cas s'ils font le va-et-vient le long d'une antenne filaire.

Contrairement à ce que pensait Fresnel, la lumière ne vibre pas transversalement. C'est plutôt le diagramme de son rayonnement qui présente des zones alternativement en phase, puis en opposition de phase, et ces zones ondulent alors latéralement. Les électrons de chaque spin sont en mesure de reconnaître ces phases et de réagir différemment puisqu'ils vibrent en opposition de phase. Si les électrons oscillent en décrivant des trajectoires circulaires, la polarisation subit une rotation dans un sens ou dans l'autre.

Aussi ahurissant que ceci puisse paraître, la lumière traverse tous les objets sans rencontrer la moindre résistance. C'est évident puisque les ondes de la matière sont tout à fait incapables de l'arrêter. Par contre, toutes les fois que la lumière atteint des électrons, elle ne déplace que ceux dont le spin est en phase. L'ensemble des électrons rayonne alors des ondes en opposition de phase. Ces ondes annulent la lumière incidente, et c'est pourquoi il se produit une ombre derrière les objets. Ce phénomène est démontré de manière irréfutable à la page sur la lumière.

La réflexion, la dispersion, la réfraction et la transparence peuvent s'expliquer de la même manière. Il faut retenir que tous ces phénomènes impliquent toujours de la nouvelle lumière, ce qui permet de dissiper un grand nombre de malentendus sur la lumière. Il faut en particulier en déduire que l'expérience de Fizeau et bien d'autres de ce genre impliquent des phénomènes tellement complexes qu'elles ne sont absolument pas concluantes.

S'il oscille trop fortement sous l'influence de la chaleur, de la lumière ou de tout autre rayonnement, l'électron est expulsé de sa couche atomique normale, qu'il réintégrera aussitôt à moins qu'un autre électron ne l'ait déjà remplacé. C'est ce qui permet de provoquer une réaction chimique ou un courant électrique, et donc de faire en sorte que nos yeux, une pellicule photographique ou un dispositif électronique puissent détecter la lumière. Il est évident que cette détection ne peut avoir lieu que si l'électron est expulsé, et que cette expulsion ne peut avoir lieu qu'au delà d'un certain seuil, toujours le même. Ce seuil, c'est un quantum. L'aspect quantique de la lumière doit donc être attribué à l'électron, ce qui montre bien que les photons n'existent pas.

 

La lumière est faite des ondelettes sphériques émises dans toutes les directions par les électrons, et qui s'ajoutent ou se détruisent  conformément au principe de Huygens. Qu'il s'agisse des ondes radio, de la lumière visible ou des fréquences plus élevées, ce sont toujours les mêmes ondes composites qui sont pulsées sur une fréquence secondaire plus basse. 

 

 

Cette page mentionne les 23 postulats qui semblent les plus significatifs aujourd'hui. Il faudra y réfléchir encore et en discuter avec d'autres, en particulier avec MM Serge Cabala, Milo Wolff, Caroline Thompson, Ray Tomes Denys Lépinard et bien d'autres, qui ont compris que l'éther existe vraiment et que notre monde n'existe que par des ondes.

Je suis navré de constater que certains parmi eux professent une physique surréaliste et même franchement farfelue, où la philosophie tient souvent une place prépondérante. Mais la vérité apparaîtra un jour. Et puisque je suis moi-même imparfait, il est possible que ce jour-là, les postulats cités ci-dessus en soient quelque peu bousculés.

 

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Gabriel LaFrenière,

Bois-des-Filion en Québec.

Sur l'Internet depuis septembre 2002.

Dernière mise à jour le 5 octobre 2006.

Courrier électronique : veuillez consulter cet avis.

La théorie de l'Absolu, © Luc Lafrenière, mai 2000.

La matière est faite d'ondes, © Gabriel Lafrenière, juin 2002.